Occurences de l'expression
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pour BOURSAULT, Edme
Options de recherche : partie de mot et insensible à la casse
MARIE STUARD (1691)
- Ce secret de son coeur n'échappe qu'avec peine. v.8 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Il me rappelle encore avec empressement ; v.9 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Le Comte de Morray peut aisément l'entendre v.12 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Seigneur, en ce moment il nous entend peut-être. v.16 (Acte 1, scène 1, EURIC)
- Le duc dont la conduite est suspecte à la Reine, v.31 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Se creuse un précipice où j'ai peur qu'il m'entraîne : v.32 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Déjà de cent bienfaits j'ai perdu la mémoire ; v.36 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Que je ne sois perdu si quelqu'un nous écoute. v.44 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Pour peu que la fortune à mes voeux soit contraire v.55 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Pembroc, qui le premier la fit proclamer reine, v.79 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Seigneur, des maux passes perdons le souvenir : v.85 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Peut-elle assujettir la majesté des rois v.93 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- S'il faut que malgré nous il nous échappe un crime, v.112 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Pour le bien de l'état je puis tout me permettre : v.116 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Avant qu'elle ait le temps de s'en apercevoir. v.122 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Et tout semble d'accord pour perdre ce que j'aime. v.128 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Son frère (si ce nom lui doit être permis) v.129 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Si vous êtes surpris vous vous perdez. v.164 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Tout est perdu pour moi si je ne me perds pas. v.165 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Dès demain la clarté lui peut être ravie : v.170 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Pendant l'obscurité, le calme et le silence, v.198 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Et mon rival lui-même aide à hâter sa perte. v.211 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- J'entreprends une route où j'ai peu d'habitude : v.218 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Je puis me repentir de l'avoir commencé. v.221 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- J'ai peur d'avoir promis plus que je ne ferai. v.225 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Avez-vous vers le crime un penchant si rapide, v.230 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Quelle peur vous alarme ? Et par quel sort fatal v.240 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Ne peuvent balancer l'amour qu'elle me donne, v.291 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Quel prince dans l'Europe a la même avantage ? v.314 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et si je perds la mère aurais-je soin du fils ? v.317 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Quoique fasse le sang, il faudra peu d'effort v.328 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Et pour hâter sa perte allez trouver la reine : v.331 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Un perfide, un ingrate digne de sa fureur v.340 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Venez par vos conseils dissiper vos alarmes, v.342 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Voilà mon sentiment que rien ne peut changer. v.356 (Acte 1, scène 4, MORRAY)
- Il voulait, le perfide, attenter à vos jours, v.376 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Eh faut-il que si tard j'en soit persuadée ! v.383 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Mais yeux se repaîtrons d'un spectacle si doux. v.401 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- On ne peut lui trouver un supplice trop rude. v.403 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Et l'on peut, Madame, en cette occasion, v.408 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Si je choisis quelqu'un j'éprouverai peut-être, v.418 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Ainsi ma cruauté, sans permettre qu'il meure, v.450 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Forcera le perfide à mourir à toute heure. v.451 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Si de sa perfidie on n'avait rien à craindre. v.455 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Peut-être est-ce pour lui que le prince de Parme, v.458 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Et vous n'ignore pas que pendant une nuit, v.460 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Un peu de vent en poupe en ce lieu les conduit. v.461 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Et pour peu qu'il en reste à vous parler de lui, v.484 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Prisonnière, c'est peu : coupable, condamnée, v.510 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Si le Duc de Norfolk, que peut-être on opprime, v.514 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- N'est peut être envers vous que de ce dernier crime, v.515 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Cependant pour sa mort j'aperçois qu'on affecte, v.518 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Une si grande ardeur qu'elle est un peu suspecte. v.519 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Ton soupçon est injuste, et cela ne peut être. v.530 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Pendant qu'un plein repos règne dans vos États ; v.536 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Depuis que ma conduite est suspecte vos yeux, v.552 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- On doit peu s'étonner, quand tout m'ose trahir, v.556 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Sur nos front désolés peint notre désespoir. v.565 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Qu'on ne peut résister à ce qu'il entreprend. v.569 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Le perfide est contraint, ma présence le gêne. v.578 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Ma trompez-vous mes sens ? Ai-je entendu la Reine ? v.579 (Acte 2, scène 4, NORFOLK)
- Eh ! n'ai-je pas juré que je perdrais la vie, v.586 (Acte 2, scène 4, NORFOLK)
- D'écossais généreux une troupe intrépide, v.594 (Acte 2, scène 5, EURIC)
- Je devance ses pas pour dissiper sa crainte. v.607 (Acte 2, scène 7, EURIC)
- Un peu d'émotion mêlée à ses attraits, v.608 (Acte 2, scène 7, EURIC)
- En voulant me sauver ne vous perdez-vous pas ? v.613 (Acte 2, scène 8, MARIE-STUARD)
- Quelle disgrâce ! Ah ! Duc, votre perte est certaine. v.618 (Acte 2, scène 8, MARIE-STUARD)
- Ont vu ta perfidie, et verront ton trépas. v.633 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Que je voulais ta mort moins que ton repentir v.637 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Gardes, sans balancer, entraîner ce perfide. v.638 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Ils ont pour ce perfide une haine mortelle. v.658 (Acte 3, scène 1, ELISABETH)
- Approchez, Duc. Si le ciel l'eut permis, v.668 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Et pour nous épargnez des discours superflus, v.680 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Tout autre que toi, aurait plus fait peut-être, v.690 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Mon corps percé de coups vous est un sûr garant v.740 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Ces pairs, qui vers le crime ont des pentes rapides, v.742 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- De votre sang peut-être un jour seront avides. v.743 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Jamais de perfidie ils n'ont été coupables. v.751 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Qui me coûta beaucoup, et qui te touché peu. v.761 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Quel spectacle à nos yeux allez-vous étaler, v.768 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Laisse-là mon devoir, et songe au tien, perfide. v.786 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Son aspect n'a rien qui m'intimide : v.787 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Ce n'est pas un forfait dont mon coeur se repente/ v.795 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Que mon respect pour elle égale ses appas ; v.804 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Que tu ne fus ingrat, que tu ne fus perfide ; v.811 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Mon respect, malgré moi, m'interdisait l'amour. v.825 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Vois cette lettre, vois. Peux-tu la méconnaître. v.835 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Pour s'immortaliser on ne peut faire un choix v.838 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Que peux-tu m'opposer pour détruire ce crime ? v.850 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Et puisqu'on ne peut rompre un si honteux lien, v.868 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- De te percer le coeur pour mieux trouver le sien. v.869 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Peut-être votre mort serait-elle encore loin. v.893 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Qui de tous les bienfaits dispensateur fidèle, v.906 (Acte 3, scène 4, MARIE-STUARD)
- Et j'ai peur qu'avec moi vous ne fussiez d'accord, v.916 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Des peuples à venir votre nom respecté v.928 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Me peut faire expier pour un trépas si doux, v.932 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Et j'attends pas respect à vous le faire voir, v.944 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Si d'un feu qui me perd j'eusse été mieux instruite v.962 (Acte 3, scène 4, MARIE-STUARD)
- Je trouvais de la gloire à vous persécuter. v.981 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Sur la foi d'un respect qui ne me quittait pas, v.992 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Semblaient me dispenses de craindre et de prévoir. v.997 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Si le jour que je perds vous conservait la vie ! v.1011 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- En vain à mon respect je m'étais confié ; v.1016 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- Peut-être que la reine après mon sort funeste v.1018 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- M'appeler à la mort un moment après vous. v.1025 (Acte 3, scène 5, MARIE-STUARD)
- Cette pompeuse marque, en ce lieu si chérie, v.1030 (Acte 4, scène 1, NEWCASTLE)
- Après ce coup d'essai, ton penchant pour le crime v.1038 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Te peut faire prétendre au rang le plus sublime ; v.1039 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Hâte, si tu le peux, les moments de ma mort. v.1045 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Tu ne peux en un jour oublier tant de grâces : v.1047 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Mais des crimes perdus ne laissent après eux v.1084 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- Pendant que son courroux l'aveugle, et la séduit, v.1092 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Pendant que de ma soeur, sujette aux mêmes lois, v.1096 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Quand je perds mon rival, une fureur égale v.1098 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Semble animer la reine à perdre sa rivale ; v.1099 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Et peut-être ce jour ne se passera pas v.1100 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Ne vous opposez pas au penchant qui m'entraîne, v.1103 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Et peut-être tous deux en serez-vous surprise. v.1113 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Je veux de ce perfide humilier l'audace : v.1131 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Et pour peu qu'il s'échappe à braver mon courroux, v.1132 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Ma faire faire des pas que j'ai peur qu'on ne blâme. v.1135 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Souillent de leur aspect la majesté des rois. v.1137 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Et pour récompenser d'assez faibles exploits v.1140 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- On vous trompe, Madame, elle a l'âme trop belle : v.1166 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Vous souffrez, cependant, qu'on l'envoie au trépas v.1168 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Imposteur ! Le respect qu'ici vous devez rendre? v.1190 (Acte 4, scène 4, MORRAY)
- Et loin que le perfide implore ma pitié v.1196 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Prêt à perdre le jour, si je parle pour elle v.1202 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Méprisez les conseils des ces petites âmes v.1218 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Oui, traître, et tu ne peux jamais v.1259 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Mais, perfide, ta reine est assez magnanime v.1265 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Si tu peux concevoir que effort je me fais v.1271 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Un refus échappé rend ta perte certaine. v.1292 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Ses ordres sont précis pour perdre sa rivale, v.1304 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Et s'il rendre en faveur il nous perdra tous deux. v.1307 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Un amour sans espoir dure peu dans une âme : v.1308 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Et l'ayant condamné, s'il échappe au trépas v.1310 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- A son ressentiment nous n'échapperons pas. v.1311 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Ainsi, Seigneur, ainsi pour toute récompense v.1312 (Acte 4, scène 6, NEWCASTLE)
- Ah ! Perdons-les, vous dis-je, ou nous sommes perdus. v.1319 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- De la reine d'Écosse allez hâter la perte ; v.1325 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Des plus augustes rois que l'Europe révère : v.1341 (Acte 5, scène 1, MARIE-STUARD)
- De quoi récompenser votre fidélité. v.1343 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Dans un long voyage ai-je trop peu souffert ? v.1350 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- À vos persécuteurs pût arracher le vôtre ! v.1357 (Acte 5, scène 1, MELVIN)
- Et ce que votre haine appelle ambition v.1386 (Acte 5, scène 2, MORRAY)
- D'être envers une soeur perfide et sacrilège, v.1389 (Acte 5, scène 2, MARIE-STUARD)
- J'en vais faire pour vous qui me persécutez. v.1399 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- La voix de la nature au repentir m'appelle. v.1401 (Acte 5, scène 3, MORRAY)
- Et peut-on approuver l'implacable fureur v.1422 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Pour peu qu'à mon devoir je demeure fidèle v.1428 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Sa haine pour me perdre armera l'univers : v.1455 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- De peur de la flatter par de telles amorces v.1464 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Suivez votre penchant sans aucune contrainte. v.1472 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Pour joindre à ce mépris de plus sensibles peines, v.1496 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Il est mort ! Ah, perfide, qu'entends-je ! v.1500 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Lancastre. Ce perfide, ennemi de sa soeur, v.1506 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- M'a peut être engagée à servir sa fureur. v.1507 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- L'exemple que je dois aurait été perdu ; v.1515 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Au barbare succès d'un si triste spectacle. v.1525 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Vous anime à ma perte, et c'est ce que je veux. v.1531 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Qu'un crime couronné perdait le nom de crime. v.1541 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Pour commencer sa peine ordonnez qu'il m'écoute. v.1549 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Tout barbare qu'il est, va lui percer le coeur. v.1551 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Si de mes trahisons le repentir extrême v.1552 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Peut vous autoriser à m'écouter vous-même, v.1553 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Que pendant sa prison, quoiqu'elle ait enduré, v.1562 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Dieu, qu'on ne trompe point, savait son innocence. v.1565 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Au plus grand des malheurs est peut-être exposé : v.1571 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Est peut-être élevé dans un culte funeste. v.1573 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Pendant que de son coeur la tendresse s'explique, v.1580 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Ses filles, cependant, les yeux baignés de larmes, v.1592 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Plus on est attentif à ce lugubre aspect, v.1602 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Plus on sent de pitié, de terreur, de respect. v.1603 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Fasse le juste ciel que ces juges pervers v.1609 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Pendant ces derniers mots le ministre inhumain v.1613 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Que tous les spectateurs ont frémi comme moi. v.1622 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Je n'ai rien oublié pour la perdre après lui. v.1642 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Vos droits à l'Angleterre étant peu légitimes, v.1647 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Faites tous un effort pour tromper ses projets. v.1661 (Acte 5, scène 6, ELISABETH)
- Il est trop peu puni pour de si grands forfaits. v.1662 (Acte 5, scène 6, ELISABETH)
- Il mérite, le traître, une plus longue peine. v.1663 (Acte 5, scène 6, ELISABETH)
ÉSOPE À LA COUR (1701)
- Est-il à présumer que je vaille la peine v.3 (Prologue, scène 1, UN PETIT GÉNIE)
- Se faut-il étonner que je sois si petit ? v.8 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Qu'on y peut arriver par différents endroits. v.12 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Et je souhaiterais, avec l'aide d'Ésope, v.16 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Les vices qu'on y développe. v.18 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- "Quel petit génie est-ce là ? " v.19 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Des impertinences d'autrui, v.24 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Quoique depuis Ésope, il plaise aux destinées v.33 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- S'y trouve si bien peint qu'il soit presque parlant, v.40 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Ma haine pour Ésope a trop de violence. v.50 (Acte 1, scène 1, TIRRÈNE)
- Notre zèle est suspect, quelque pur qu'il puisse être ; v.53 (Acte 1, scène 1, TIRR?NE)
- Quel sujet vous oblige à différer sa perte ? v.57 (Acte 1, scène 1, TIRRÈNE)
- À détromper Crésus appliquons notre soin. v.60 (Acte 1, scène 1, TIRR?NE)
- Allez... demeure, Ésope... v.75 (Acte 1, scène 2, CRESUS)
- Eh ! Seigneur, se peut-il qu'après tant de v.76 (Acte 1, scène 2, IPHIS)
- Je hais les discours superflus : v.79 (Acte 1, scène 2, CRESUS)
- Pour toi, mon cher Ésope, il faut que je t'avoue v.81 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Il n'est grands ni petits des endroits d'où tu viens v.83 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Ne me commandez rien qui ne me soit permis. v.100 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et qu'exempt de défauts il ait peur d'en avoir ; v.104 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et c'est, mon cher Ésope, à quoi, s'il est possible, v.113 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Quel monarque a-t-on vu, pendant qu'il a régné, v.115 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Les auront à leur tour pendant qu'ils régneront. v.120 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Par là je m'aperçois, ou du moins je soupçonne, v.121 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Qu'on encense la place autant que la personne ; v.122 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Si tu veux que ta foi ne me soit point suspecte, v.125 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Je suis jeune, et peut-être assez loin du tombeau : v.131 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Sans être conquérant un roi peut être auguste. v.145 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Dispenser la justice et fleurir les beaux arts, v.148 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Protéger votre peuple autant qu'il vous révère, v.149 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et père de son peuple est un titre plus grand v.151 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Ta bonté pour le peuple a pris des soins si grands !... v.159 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Que le peuple et la cour, seigneur, sont différents ! v.160 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Quoiqu'on nomme le peuple un monstre à plusieurs têtes, v.161 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- D'un pas imperceptible à la fin de son cours. v.180 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Pendant un mois ou deux me voir sans diadème ; v.194 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Et si l'on prévoyait ce que je dois penser, v.199 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Permettez-moi, seigneur, de vous dire une fable. v.202 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- De la peine d'autrui ne s'inquiétaient guère. v.213 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- " pesez bien, leur dit-il, ce que je vous propose, v.222 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Répond tout d'une voix la troupe mercenaire, v.226 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- « Pensez-y deux fois plutôt qu'une, v.228 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Fuyez loin de moi, troupe avide, v.241 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- De leurs conseils pernicieux, v.247 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Que de s'être défait de ces pestes de cour. v.254 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- En donnant leur avis y penseraient deux fois... v.262 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Peut-être m'expliquai-je avec trop de franchise. v.263 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- C'est une liberté que vous m'avez permise. v.264 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Qui peut plus sagement gouverner mes finances v.275 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Que toi, qui fuis le bien, et qui hais les dépenses ? v.276 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- En quelle occasion les peux-tu dissiper ? v.277 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Est-ce au superbe train que tu fais équiper ? v.278 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Te voit-on dépeupler les airs et les rivières, v.280 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Récompenses, honneurs, charges, bienfaits, emplois, v.285 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Tu peux de toute chose ordonner à ton choix. v.286 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Peut-être je me trompe, et qui soupçonne doute. v.291 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Quoi ! Le seigneur Ésope en croit donc être quitte, v.295 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Après s'être éclipsé pendant cinq ou six mois ! v.298 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Et cependant, madame, à quoi vous suis-je bon ? v.306 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Il me prenait peut-être en de méchantes heures, v.315 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Peut-être. v.319 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Et les moments qu'on perd ne se recouvrent guère. v.324 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Quelque beau petit prince, au trône destiné, v.325 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Vous, madame, partout vous serez respectée. v.336 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Je réponds du succès pour peu que j'y travaille, v.360 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Qui ne veut point d'un bien quand il le peut avoir, v.369 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Ne trouvait dans les eaux hors la perche et truite v.375 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Brochet, carpe, tanche, et la suite, v.377 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Les plus jolis brochets, les carpes les meilleures, v.381 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Et ne voyant truite, ni perche, v.385 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Cependant le temps passe, et durant qu'il tournoie, v.393 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Du héron dédaigneux la peinture naïve v.399 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Une fille à seize ans souffre à peine les voeux ; v.402 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Pensez-y. v.408 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- A peur d'être réduit au sort du limaçon. v.411 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Peut faire de meilleur qu'une fille comme elle, v.417 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- On ne peut du beau temps faire un trop bon usage. v.420 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Pardon ; j'ai le malheur d'être un peu trop sincère. v.428 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- De vous. Trois fois j'ai pensé vous l'écrire. v.460 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- On peut dire de moi bien du mal sans médire ; v.461 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Gardez-vous bien de me nommer personne. v.465 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Peut-être faible et prompt chercherais-je un moyen v.466 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Ce qui me peut manquer. v.481 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Si Jupiter ne nous rappelle ? " v.487 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Pendant cet embarras il arrive une foire. v.499 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Pour attirer du peuple et de la chalandise, v.503 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Mais à peine Mercure a-t-il planté le sien v.506 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Mais le marchand d'esprit à peine fut-il vu : v.511 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Que de faire à la cour un si bas personnage ? v.531 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Si ce sont vos amis, c'est leur être perfide ; v.535 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Plus sincère que vous, je dis ce que je pense. v.538 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- J'attendais de mon zèle une autre récompense. v.539 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- C'est perdre ses bienfaits que de les mal répandre. v.542 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Dans votre appartement Rhodope va se rendre. v.543 (Acte 1, scène 6, LICAS)
- Qu'ils auront de la peine à me reprocher rien. v.549 (Acte 1, scène 6, ESOPE)
- Vous croyez m'éblouir par vos trompeurs appas ? v.561 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Tout difforme et hideux que vous paraisse Ésope, v.562 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Ne vous en flattez pas, infidèle Rhodope : v.563 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Pensez-y bien, de grâce, avant d'en venir là ; v.572 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Épargnez-vous des serments superflus : v.576 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Pendant cinq ou six mois qu'a duré mon absence, v.578 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Vous avez tout perdu, foi, pudeur, innocence ; v.579 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- À peu près de même âge, ont même goût que moi. v.589 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Ah ! Rhodope, Rhodope, à qui j'avais envie v.598 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Mais, Rhodope, un air libre est-ce un libertinage ? v.607 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Quand on perd sa bonne odeur ! v.629 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Vous reconnaissez-vous, Rhodope, en cette fable ? v.630 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Ne peuvent présumer qu'on rie innocemment ; v.645 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Rien n'est plus dangereux, dans leurs petits complots, v.648 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Et trouvent tout permis, en sauvant l'apparence. v.651 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Vous aurez peu de peine à me persuader ; v.660 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Trop peu si j'ai raison et qu'ils ne le soient pas !... v.665 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Qui fatiguent son peuple et désolent ses terres, v.679 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Seigneur, cette matière est un peu délicate. v.695 (Acte 2, scène 2, TIRRÈNE)
- Perdront bien de leur prix quand ils seront à vous. v.709 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Qu'il est peu de lauriers qui ne coûtent des pleurs. v.729 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Pour peu qu'à l'écouter votre bonté s'applique, v.738 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Pendant que l'un et l'autre à l'amour s'abandonnent, v.751 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- D'abord il va percher sur le toit le plus haut v.759 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Épouser, en pestant, une poule faisane. v.762 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Quand la faisane l'appelait, v.773 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Pendant que l'un et l'autre à l'amour s'abandonnent, v.780 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- D'abord il va percher sur le toit le plus haut v.788 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Épouser, en pestant, une poule faisane. v.791 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Quand la faisane l'appelait, v.802 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Sans un besoin pressant, qu'à peine je conçois, v.810 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Pour contenter le peuple et le roi de Phrygie, v.816 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Quoi qu'il fasse pour vous, il fait encor trop peu. v.835 (Acte 2, scène 3, TRASIBULE)
- Sa peinture et la vôtre y sont en raccourci. v.854 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- N'en perdez pas un mot, tout en est profitable. v.857 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Ne peut plus nous servir à rien. " v.890 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Iphis... mais je me trompe, ou c'est lui s'approche... v.917 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Moi, je vais le prier de ne le pas permettre. v.930 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Respect, zèle, remords, tout aigrit son courroux. v.936 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Pendant que de vos soins vous m'offrez l'assistance, v.941 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- En fait-on de petits quand on déplaît aux rois ? v.952 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Il faut, plein du respect que leur présence inspire, v.981 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Il consentit sans peine à ce manège-là. v.1010 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- La guenon, un peu trop hardie, v.1015 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- « Ah ! Perfide, dit-il, qui t'oses méconnaître, v.1022 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Ésope ne suit pas ? v.1038 (Acte 3, scène 1, CRESUS)
- Qu'on l'appelle... v.1038 (Acte 3, scène 1, CRESUS)
- Mon aspect t'embarrasse ? v.1042 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Et, sans te prévenir, si tu veux y penser, v.1048 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Puis-je lui faire grâce, et peux-tu m'en presser ? v.1049 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Je vous rapporterais un petit trait d'histoire, v.1070 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Peut-être à ce sujet cadre-t-il assez bien. v.1072 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Pendant que tant de malheureux, v.1085 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Vers qui que ce puisse être où mon penchant m'emporte, v.1090 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- J'en veux faire un peu moins aux uns, v.1094 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Pour en faire un peu plus aux autres. v.1095 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Joint un si grand respect avec un si grand zèle ! v.1111 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Peut-être à sa manière a-t-il un zèle égal. v.1113 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Qui pendant leur jeunesse imprudents, emportés, v.1117 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Qui peut-être à mes voeux vous rendra favorable : v.1123 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Qu'en me faisant périr vous auriez peu de gloire ; v.1137 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Et ne s'en repentit pas. v.1147 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Mais plus il y prend de peine, v.1154 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Vient voir à quel usage il lui peut être utile, v.1162 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Pour le récompenser de sa miséricorde. v.1169 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Princes, qui, pouvant tout, vous croyez tout permis, v.1170 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Pour me persuader que ma bonté te touche. v.1181 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Qu'on ne peut pour vous voir se donner trop de soin. v.1199 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Quand j'aurais un mérite à vous frapper les yeux, v.1218 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Non dans la volupté dont le peuple s'entête, v.1228 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Qu'on évite avec soin, pour peu qu'on soit honnête, v.1229 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Et qui pour des plaisirs peu durables et faux, v.1230 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- J'appelle volupté proprement ce qu'on nomme v.1232 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Peut-on être si faible avec tant de raison ? v.1246 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Et vous ne le croyez non plus que moi, je pense ? v.1248 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Vous le conjecturez avec peu d'apparence. v.1249 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Et qui les craint si peu que c'est n'en croire point. v.1255 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Peut-il être éternel et sujet au trépas ? v.1266 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Tout être dépendant vient d'un être suprême ; v.1268 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Parce que d'un peu loin vous croyez voir la mort, v.1275 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Penseriez-vous des dieux ce que vous en pensez ? v.1278 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Est un peu délicate, et je ne sais pas bien... v.1282 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- À l'aspect de la mort vous êtes si timides v.1285 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Mille de cris perçants importunent les dieux. v.1287 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Peut-être v.1288 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Que mon coeur combattu par la peur du non-être... v.1289 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- La peur d'être toujours cause bien d'autres soins ; v.1291 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Peut-être ma carrière approchant de son terme, v.1308 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Et que peut-on risquer qui soit plus important ? v.1319 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Sur le point d'expirer, quoi qu'on se persuade, v.1324 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Le repentir est faible autant que le malade. v.1325 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Pendant que tu te portais bien, v.1339 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Ils ne peuvent pas davantage. v.1341 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Est semblable à peu près à ces paisibles fleuves v.1349 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Pour peu que l'on y prie, on est toujours en garde : v.1364 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Non, monsieur, je saurai vous en sauver la peine ; v.1373 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- J'ai loué cet habit pour paraître un peu brave ; v.1392 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- Qu'en m'appelant madame, on se moque de moi. v.1395 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- Et je crois me devoir plus aux petits qu'aux grands. v.1399 (Acte 3, scène 6, ESOPE)
- Je me repentirais d'avoir quitté la Thrace. v.1405 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- J'ai bien pris de la peine et bien fait du chemin, v.1406 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- de Rhodope. v.1412 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- Rhodope ! Elle qui plaît, qui brille ? v.1412 (Acte 3, scène 6, ESOPE)
- Rhodope, dites-vous ? v.1413 (Acte 3, scène 6, ESOPE)
- Elle, Rhodope ? v.1415 (Acte 3, scène 6, ESOPE)
- Voyez si Rhodope est chez elle. v.1417 (Acte 3, scène 7, ESOPE)
- Rhodope est votre fille, et vous a méconnue ! v.1437 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Elle a peur que ma vue infecte sa maison. v.1442 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- La pauvre femme a peut-être raison. v.1443 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Rhodope n'est pas seule, en sa bonne fortune, v.1444 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Rhodope de son sort elle seule est la cause : v.1457 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Rhodope suit mes pas, et va se rendre ici. v.1463 (Acte 3, scène 9, LICAS)
- Je n'ai pu l'empêcher de prendre cette peine. v.1464 (Acte 3, scène 9, LICAS)
- Que de tous nos discours elle ne perde rien. v.1467 (Acte 3, scène 9, ESOPE)
- Allez... ce que j'entends de Rhodope m'étonne. v.1468 (Acte 3, scène 9, ESOPE)
- Vous, Rhodope ? v.1500 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Rassurez-vous, Rhodope, et n'ayez point d'alarmes ; v.1503 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- À peine de ma chambre a-t-elle été dehors, v.1512 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Je veux souffrir sa peine, ou me faire un honneur v.1516 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Ce que vous m'avez dit, Rhodope, est-il croyable ? v.1519 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Qu'un enfant pour sa mère ait eu si peu d'égard. v.1521 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Quel plaisir prenez-vous à prolonger ma peine ? v.1527 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Les moments sont trop chers pour les perdre en discours. v.1528 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- J'entrevois dans ce zèle un peu de bienséance : v.1531 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- C'est la crainte du blâme et la peur de rougir. v.1533 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Soupçonnez d'artifice un repentir sincère, v.1538 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Pendant que nous parlons, ils augmentent toujours. v.1541 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Ce que j'entends me perce les entrailles. v.1547 (Acte 3, scène 11, LEONIDE)
- Consolez-vous, Rhodope ; une si belle faute v.1554 (Acte 3, scène 11, ESOPE)
- Et vous, à l'avenir, soumise à son aspect, v.1560 (Acte 3, scène 11, ESOPE)
- Ayez pour votre mère un extrême respect. v.1561 (Acte 3, scène 11, ESOPE)
- Ce soir je vous convie à souper avec elle. v.1563 (Acte 3, scène 11, ESOPE)
- Rhodope : v.1574 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Elle a fait ce matin sa paix avec Ésope. v.1575 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Ésope est né dans l'indigence ; v.1578 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Le poste glorieux qu'il occupe aujourd'hui ? v.1581 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Ésope sans naissance est dans une posture... v.1582 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Consiste à me donner Ésope pour époux. v.1585 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Connais-tu bien Ésope ? v.1586 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Il ne faut pour le voir prendre aucun microscope. v.1587 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- De son hideux aspect on est d'abord frappé. v.1588 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Ésope a l'esprit net, affable. v.1594 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Pardon, si ma pensée est contraire à la vôtre ; v.1598 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Moi qui dois à votre ordre avec respect me rendre ; v.1611 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Vous avez seul vers moi fait pencher la balance. v.1618 (Acte 4, scène 2, ARSINOE)
- Que la fourmi l'attrape, et regagne la rive. v.1635 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Qu'un bienfait n'est jamais perdu. v.1652 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Moi, monsieur, de Rhodope enlever la conquête ! v.1666 (Acte 4, scène 4, LAIS)
- Je voulais éprouver quelle était votre pente. v.1677 (Acte 4, scène 4, ESOPE)
- Expert en ce métier, je distingue d'abord v.1695 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Qu'on ne ferait pas mieux, quand on le ferait peindre ; v.1706 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Enfin ce qu'on appelle un des plus jolis hommes v.1709 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Fiez-vous-en à moi ; je sais un peu la carte : v.1717 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Ne me demandez point ce qui n'est pas permis. v.1727 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Il est permis, parbleu ! D'obliger ses amis, v.1728 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Pour en obliger un faut-il en perdre un autre ? v.1730 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Celles que sans faiblesse un grand roi peut savoir ; v.1744 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Le loup, qui ne peut faire une bonne action, v.1756 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Pendant qu'on vous faisait des compliments stériles, v.1768 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- La peau d'un loup, écorché vif, v.1773 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Cent pour un, tout au moins, s'y sont perdus aussi. v.1783 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Mais j'ai du train du monde un peu d'expérience. v.1813 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Parlons net. Mon dessein est de perdre Ariston : v.1818 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Eh ! Vous figurez-vous, mon cher petit monsieur, v.1822 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Autant que je l'ai pu pendant une heure entière, v.1828 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Et je n'ai du respect pour l'éclat de leur sang v.1838 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Les grands et les petits viennent par même voie ; v.1840 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- On ne peut l'altérer sans y faire du mal, v.1842 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Un soldat comme vous s'imagine peut-être. v.1844 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Peut-on être si noble, avec un coeur si bas ! v.1851 (Acte 4, scène 6, ESOPE)
- Votre peine pour moi ne sera point perdue ; v.1896 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- C'est peut-être un jargon qu'on n'entend qu'en ces lieux ? v.1910 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Il n'est point de coupable un peu riche et puissant, v.1918 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Mais je ne conçois point où l'on peut l'appliquer. v.1930 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Peu de fermiers, je crois, sont plus intelligents. v.1950 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Pour faire aller le peuple il faut être plus dur. v.1954 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Vous avez des enfants et des petits-enfants ? v.1959 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Peste soit du vieux fou ! v.1967 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Qui peut se reposer, et qui ne le fait pas. v.1971 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Quel indigne plaisir peut avoir l'avarice ? v.1972 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et que demain peut-être elle viendra vous prendre ? v.1985 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Une fable un peu longue est une double grâce. v.1992 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Ce n'était pas une petite affaire. v.1999 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Permit ce jour-là d'être bon, v.2001 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Grands, petits, jeunes, vieux, de tout rang, de tout âge : v.2008 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et qui n'y joue un personnage. v.2011 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et ne peuvent nombrer cela ! v.2031 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et certains curieux, galopeurs d'inventaires, v.2048 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Qui séduisent l'huissier pour tromper les mineurs : v.2049 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Pour penser à la mort, sans y donner une heure. v.2072 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Examinons un peu, vous et moi, quel usage v.2086 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Vous avez fait du temps pendant un si grand âge. v.2087 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Le nombre, ou peu s'en faut, de trente mille jours ; v.2089 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Pour vous ouvrir les yeux j'ai dit ce qu'on peut dire : v.2094 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Ce que vous m'apprenez a si peu d'apparence v.2098 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Ésope me trahir, lui qui me sert si bien ! v.2100 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Il se peut qu'on ait tort de soupçonner son zèle ; v.2103 (Acte 5, scène 1, TIRRÈNE)
- Peut-être de l'envie est-ce un subtil poison : v.2104 (Acte 5, scène 1, TIRR?NE)
- Mais il se peut aussi, seigneur, qu'on ait raison, v.2105 (Acte 5, scène 1, TIRR?NE)
- Vous avertir qu'Ésope, avec son air austère, v.2119 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- J'ignore le détail de ses supercheries, v.2122 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- Dans la place d'Ésope on n'est point si modeste. v.2127 (Acte 5, scène 1, TIRRÈNE)
- Quand on peut ce qu'on veut, on étend loin ses droits. v.2128 (Acte 5, scène 1, TIRR?NE)
- C'est peu d'un million, il en a plus de trois : v.2129 (Acte 5, scène 1, TIRR?NE)
- Pensez bien, l'un et l'autre, à ce que vous me dites. v.2131 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Ésope criminel, quels que soient ses remords, v.2132 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Mais Ésope innocent, par la même justice, v.2134 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- La récompense est sûre, ou la punition. v.2136 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Pour le rendre suspect, en vain l'on me prévient : v.2140 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Il faut que cette intrigue ici se développe. v.2142 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Ésope, v.2143 (Acte 5, scène 2, CRESUS)
- Je t'en veux croire seul. Me trompes-tu, dis ? v.2145 (Acte 5, scène 2, CRESUS)
- Peut-être, avec ardeur prenant vos intérêts, v.2148 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Ai-je pu me tromper et vous tromper après ; v.2149 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Eh ! Bons dieux ! Se peut-il que pour si peu de chose v.2158 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Seigneur, daignez m'en dispenser. v.2160 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Qu'entends-je ? Et que puis-je penser ? v.2161 (Acte 5, scène 2, CRESUS)
- Seigneur, de la parole il a perdu l'usage : v.2166 (Acte 5, scène 2, TRASIBULE)
- D'où vient, dit un jour la trompette, v.2178 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Qu'il ne m'échappe rien qu'Écho ne le répète ? v.2179 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Et que, pendant l'été, quand il tonne bien fort, v.2180 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Jamais nos respects ne déplaisent ; v.2191 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Il faut que les petits se taisent. v.2193 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- C'est ainsi que du peuple obsédant les esprits, v.2198 (Acte 5, scène 3, TIRRÈNE)
- Pendant qu'à vos sujets il débite des fables, v.2200 (Acte 5, scène 3, TIRR?NE)
- Et, peut-être, en bijoux sauver un million : v.2211 (Acte 5, scène 3, TRASIBULE)
- Il peut en un moment faire tout disparaître. v.2212 (Acte 5, scène 3, TRASIBULE)
- Ésope criminel, c'est à vous tout son bien. v.2227 (Acte 5, scène 4, CRESUS)
- C'est ton trésor, Ésope ; avant qu'on l'ouvre, v.2244 (Acte 5, scène 5, CRESUS)
- De sa fausse fierté faites-le repentir. v.2254 (Acte 5, scène 5, TIRRÈNE)
- Ouvrons... ciel ! Quel spectacle est-ce ici que l'on m'offre ? v.2256 (Acte 5, scène 5, CRESUS)
- Si je l'eusse porté pendant toute ma vie, v.2265 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Quel ministre est aimé pendant qu'il est en place ? v.2273 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Voilà tout mon trésor. Quelque peu qu'il me coûte, v.2292 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Ésope plus tranquille aura plus d'équité. v.2307 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Il ne peut, quoi qu'il fasse, après vos duretés, v.2310 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Que sans l'aveu d'Ésope aucun n'entre ou ne sorte ; v.2313 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Dit l'homme ; cependant n'espère aucun pardon. v.2353 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Tu m'as fait peu de mal ; mais j'en sais la raison : v.2354 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Je dois à votre insulte une peine aussi grande ; v.2358 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Rhodope est là qui vous demande : v.2359 (Acte 5, scène 6, GARDE)
- J'ignore quel sujet peut ici l'attirer... v.2361 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Vous l'avez conviée à souper avec vous : il est tard. v.2364 (Acte 5, scène 7, RHODOPE)
- Mais qu'à la cour, Rhodope, on est près du naufrage ! v.2366 (Acte 5, scène 7, ESOPE)
- D'un ruisseau qui peut nuire interrompez la course ; v.2374 (Acte 5, scène 7, RHODOPE)
- Eh bien ! Ésope, à quoi les as-tu condamnés ? v.2377 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Peut-être que mon coeur, pénétré de l'offense, v.2382 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Permettez qu'à mon tour, seigneur, je les y pousse : v.2390 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Me la permettez-vous ? v.2393 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Oui, je te la permets. v.2393 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Venge-toi, tu le peux, tu le dois ; je l'ordonne. v.2394 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- De l'emploi que j'occupe une imprudente envie. v.2403 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Pour peu qu'on ait de coeur, plus cruel que la mort. v.2417 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Tandis que la balance est encor suspendue, v.2422 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- De la bonté d'Ésope étonnés et confus, v.2428 (Acte 5, scène 8, TIRRÈNE)
- C'est une récompense un peu forte pour moi ; v.2436 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Mais un roi doit toujours récompenser en roi. v.2437 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Trasibule, Tirrène, Ésope vous pardonne, v.2442 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- D'Ésope, à qui je dois cet important service, v.2451 (Acte 5, scène 8, ARSINOE)
- Comme à toute ma cour, Rhodope a su lui plaire, v.2455 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Nous avons, elle et moi, trop de respect pour vous, v.2457 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Quelques mois de délai, loin de fâcher Rhodope... v.2462 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Seigneur, le peuple ému demande à voir Ésope. v.2463 (Acte 5, scène 9, ATIS)
- Que, pour sa récompense, on attente à ses jours. v.2465 (Acte 5, scène 9, ATIS)
- À ce peuple agité viens te faire paraître. v.2466 (Acte 5, scène 9, CRESUS)
LA SATIRE DES SATIRES (1669)
- A-t-on rien dit de bon pendant tout le repas ? v.4 (Acte 1, scène 1, ÉMILIE)
- Pour peu qu'on ait de sens, se figure-t-on rien v.7 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Et croit qu'on s'aperçoit quand il manque à la Cour, v.24 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Que le pompeux repas que vous avez donné : v.28 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Avec si peu d'esprit en alarme un si bon ? v.32 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Je ne puis en sortir, si je ne jure un peu. ) v.36 (Acte 1, scène 1, ÉMILIE)
- Que de son Despréaux il me rompe la tête, v.46 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Qui se fait appeler la Marquise Orthodoxe ; v.62 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Cependant chaque jour vous souffrez sa visite ; v.65 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- "Usez-en librement, et mettez vos chapeaux". v.72 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- On trouverait à peine un plus illustre fat,) v.80 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Et comme si pour lui c'était peu que cela, v.87 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- L'honneur dont vos bontés récompensent mes soins, v.99 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Rien n'échappe à vos yeux, et je ne voulais pas v.103 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Voudrais bien maintenant un petite fil blanche v.118 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Viens ça ; tu sais lire, je pense ? v.121 (Acte 1, scène 2, ÉMILIE)
- Si quelqu'un vient : Qui tape ? Ami. Dis votre nom ? v.131 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- S'il ne cline son nom, personne entre aujourd'hui. v.135 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Et qui plus est, j'espère y piper aujourd'hui. v.156 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Mais je pense jamais n'avoir plus mal soupé, v.176 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- On a même trouvé bien des mets superflus ; v.179 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Ne peux-tu le prouver, sans citer ses écrits ? v.204 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Oui, je pense. v.214 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- D'accord, mais c'est peut-être en hiver qu'il veut dire. v.222 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Bon ! Par ce faux-fuyant vous croyez m'échapper. v.223 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Mais parbleu ! Sans courir, je vais vous rattraper. v.224 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Que c'est un fat qui traite, et qu'on peut sans scrupule v.233 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- N'avait pas envoyé dénicher les petits. v.240 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Je vas apprendre à vous, qu'une personne il tape. v.245 (Acte 1, scène 4, LA WALTOLINE)
- Bour... Bour... son nom me chape, v.246 (Acte 1, scène 4, LA WALTOLINE)
- Lui voudrait vous, Madame, un peu voir un petit ! v.252 (Acte 1, scène 4, LA WALTOLINE)
- C'est un peu tard venir faire ma Cour, v.260 (Acte 1, scène 5, BOURSAULT)
- "Lorsque d'un froid rimeur il dépeint la manie, v.274 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Il rencontre à la fois Perrin, et Pelletier, v.276 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- C'est pour un galant homme, un peu s'être oublié : v.283 (Acte 1, scène 5, ÉMILIE)
- Aux dépens de sa gloire, il enrichit Barbin ; v.288 (Acte 1, scène 5, ?MILIE)
- Avec tout le respect que je crois vous devoir, v.292 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Que je vous baise un peu, je vous en prie : encor, v.308 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- J'avoue ingénument que j'ai fort peu d'esprit, v.315 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Petit sot ? v.324 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Évangélisez mieux votre petit laquais, v.332 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Mais, Madame, et Monsieur, deux fâcheuses personnes, v.341 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Mais respecte Madame, elle est si délicate... v.345 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Mais si jamais j'y vais, j'en dirai pis que pendre : v.358 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Ah ! Je m'en repens bien ; v.364 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- A donc perdu sa grâce avec sa nouveauté, v.388 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Moi, peut-être ; v.397 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Pour nommer l'un fripon, appeler l'autre fat. v.400 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Et n'en peut-on sortir, sans égarer sa Muse ? v.410 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Mais je pense, ma foi, qu'il ne l'ose entreprendre. v.421 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- S'il voulait s'en mêler, que d'auteurs s'iraient pendre ! v.422 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- C'est ma pensée. v.429 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Si je n'allais songer de penser tout à l'heure v.430 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Je le connais, la peste ! Il est bien agréable. v.438 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Bon, Boyer, vous le connaissez peu. v.439 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- S'il faut peindre Bellone au milieu du carnage, v.445 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Il sait camper, résoudre, assaillir, effrayer, v.447 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Et dans ses vers pompeux étaler tout Boyer : v.448 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Ses vers ont de la pompe, et ne sont point confus ; v.456 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Car enfin, cher Marquis, et souvent on s'y trompe, v.457 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Le galimatias est voisin de la pompe. v.458 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- De se lever sans feu pendant la canicule. v.470 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Qui reprend Despréaux, peut médire du reste. v.494 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Ma foi, je voudrais bien, pendant qu'il est ici, v.495 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Sans m'en apercevoir, je me trouve à la fin, v.504 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Il me plairait, je pense, v.513 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Et si, je pense qu'il se moque ; v.545 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Il ne me souvient pas quel endroit ce peut être. v.554 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- On doit dire du moins quel endroit ce peut être : v.558 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Peux-tu le trouver beau, sans savoir ce que c'est ? v.560 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Il doit peu t'importer, s'il ne m'en souvient pas ; v.564 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Sans ce perturbateur du repos des oreilles. v.570 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Qu'il le censure après, s'il le peut. v.574 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Allons, mortifiez-le un peu. v.575 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- "Et tandis que ton bras, des peuples redouté, v.583 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Et retient les méchants, par la peur des supplices, v.585 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Sur des vers si pompeux, je m'arrête sans cesse. v.589 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- "Et tandis que ton bras, des peuples redouté, v.591 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Et retient les méchants, par la peur des supplices"... v.593 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Peut-être. v.595 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Tu peux, sur ma parole, être sur de cela. v.607 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- "Et tandis que ton bras, des peuples redouté, v.611 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Malepeste ! v.616 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je condamne avec peine, et sans peine j'admire : v.617 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Peut-être est-ce bien dit ; mais il eut pu mieux dire ; v.618 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- S'il eût mis la Personne en la place du Bras. v.620 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Pour parler nettement, par exemple, on peut mettre, v.621 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Par exemple, on peut dire, en parlant de son Bras, v.623 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- En parlant de lui-même, on peut dire avec grâce, v.625 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Ho, ho ! C'est parler un peu haut ? v.631 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- On nous craindra tous deux ; vous, de peur des supplices ; v.641 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Moi, de peur de mes vers qui gourmandent les vices ; v.642 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Voilà ce qui s'appelle être sensé. v.646 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Que ce sont les auteurs qui dispensent la gloire ; v.654 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Qu'entre de petits rois, et d'excellents poètes : v.658 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- C'est un petit poète, et le plus grand des Rois. v.660 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- La peste ! v.677 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Où Despréaux du Roi dit tout ce qu'on peut dire : v.681 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- C'est peut-être un endroit que je n'ai point ouï. v.687 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Que vous avez d'esprit ! On ne peut davantage. v.694 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- J'ai pensé me douter qu'elle dirait cela. v.700 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Pour blâmer un endroit contre qui chacun peste, v.705 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Quoi qu'en pense l'auteur, il a tort, selon moi. v.707 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Ne se peut sans erreur comparer qu'à lui-même ; v.714 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Vouloir mettre Alexandre aux Petites Maisons, v.720 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- N'est-ce pas du bon sens avoir perdu l'usage ? v.721 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Pour fat, pas tant fat que l'on pense. v.733 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Et pour courre un bon mot, que par fois il attrape, v.745 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Du bon sens qu'il néglige, à tout moment s'échappe ; v.746 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- À peine en viendraient-ils à bout. v.763 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- À la beauté de l'art, tu te connais fort peu. v.784 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
LE MÉDECIN VOLANT (1666)
- Et ne peut se résoudre au plaisir de vous voir. v.4 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Peut m'ouvrir une voie. v.10 (Acte 1, scène 1, CLÉON)
- Pour chercher par la ville un expert médecin. v.12 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Adieu, pensez à vous, et vous ressouvenez v.19 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Je t'ai dit ma pensée ; instruis-moi de la tienne. v.49 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Voilà ce que je pense. v.51 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Sans perdre ici d'inutiles paroles, v.57 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Ce vieillard chassieux connaît peu ton visage. v.65 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Si pour d'autres que moi j'aperçois qu'elle vive, v.74 (Acte 1, scène 4, CLÉON)
- D'autres peuvent l'attendre et l'emmener aussi, v.88 (Acte 1, scène 5, FERNAND)
- Peste soit de Lucresse ! v.90 (Acte 1, scène 5, PHILIPIN)
- En mon âge, ô bons dieux ! Que de peines ! v.94 (Acte 1, scène 6, FERNAND)
- Oui, Monsieur, et j'ai peur de sa mort. v.119 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- D'un peu d'apothéose entretient sa nature ; v.126 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- La vapeur de la terre, opposée à ce mal, v.127 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Un petit, grâce aux dieux ! v.135 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- Avant la fin du jour, lui peut être ravie. v.138 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- Permettez-moi d'appeler sa suivante. v.150 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- Appelez. Je le tiens ! Ô le franc animal ! v.151 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Mais, sans perdre ma peine à prouver qui je suis, v.163 (Acte 1, scène 8, CRISPIN)
- Ce que cette malade à peu près peut avoir ; v.167 (Acte 1, scène 8, CRISPIN)
- Mais qui boit pour si peu ne comprend jamais rien. v.173 (Acte 1, scène 9, CRISPIN)
- Que le goût est solide et la vue est trompeuse, v.179 (Acte 1, scène 9, CRISPIN)
- Monsieur, et cependant je n'en ai qu'un filet. v.184 (Acte 1, scène 10, LISE)
- Ma foi ! Ma maîtresse ne peut. v.188 (Acte 1, scène 10, LISE)
- C'est donner à Lucresse une peine trop grande, v.190 (Acte 1, scène 10, LISE)
- J'aurai bien de la peine à répondre de vous, v.206 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Vous n'avez pris le bras à personne qu'à moi. v.210 (Acte 1, scène 11, FERNAND)
- Et le sang l'un de l'autre est si fort dépendant, v.217 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Cependant, quoIque mon savoir brille, v.219 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Médecin ? Malepeste ! v.246 (Acte 1, scène 12, CRISPIN)
- Mais, à voir qui pour vous a daigné s'occuper, v.257 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- Je me tiens trop heureux qu'il ait pu m'échapper. v.258 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Si je perds d'un côté, je recouvre de l'autre, v.260 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Je n'ai garde, avec vous, d'occuper cette place : v.264 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Experimentum periculosum,judicium difficile. » v.280 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- Mortem medicamentis removet medicus expers. v.297 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- Mais peut-être, Monsieur, je vous suis incommode, v.300 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Qu'étant moins occupé, vous pourrez me permettre v.304 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- Du plaisir qu'on reçoit, quand on peut vous ouïr. v.306 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Il sait quelque petite chose. v.308 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Touchant la médecine est-il expert ? v.310 (Acte 1, scène 13, FERNAND)
- Que Narcisse en personne autrefois se noya, v.329 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Et semper quoniam tuos, alléluia. v.330 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Je m'en aperçois bien ; mais adieu, je vous quitte. v.332 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Prenez ; je vous dois récompense, v.335 (Acte 1, scène 13, FERNAND)
- Il ne ressemble pas ces tueurs de personnes, v.340 (Acte 1, scène 14, FERNAND)
- Que ce frère en colère à peu près te ressemble ? v.356 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- Penses-tu qu'on le puisse apaiser ? v.357 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- Vous aurez de la peine à souffrir qu'il m'assomme. v.364 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- C'est un pendard. Monsieur, qui mérite la corde. v.384 (Acte 1, scène 17, CRISPIN)
- Quoi ! Tu peux. v.404 (Acte 1, scène 19, FERNAND)
- Il a bien de la peine à pouvoir pardonner. v.405 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- Mais il peut oublier ce qu'il vient de promettre ; v.412 (Acte 1, scène 19, FERNAND)
- Il faut battre le fer, ce pendant qu'il est chaud. v.421 (Acte 1, scène 20, FERNAND)
- Il le faut toutefois. Taupe à tout ! v.429 (Acte 1, scène 21, CRISPIN)
- Malepeste ! Le drille ! Il sait bien d'autres tours, v.449 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Ou respecte cet homme, ou redoute ma canne. v.451 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Je le sais ; mais, chez vous, que peut-il aller faire ? v.455 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Mais je l'honore plus que personne du monde. v.464 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Il serait trop honteux, si ce bien peu commun... v.483 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Que de peine, v.498 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Qu'à merveille il grimpe une fenêtre. v.501 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Ah ! Perfide. v.502 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
LE MORT VIVANT (1662)
- Oui, la peste m'étouffe, il lui fait les doux yeux. v.1 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Dès hier, les écoutant, sans qu'aucun m'aperçut, v.9 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Il faut que dans ce lieu ta personne descende, v.32 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- En t'appelant, sais-tu quel succès j'en espère ? v.35 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Mais pour venir au point qui m'a fait t'appeler, v.49 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Crains-tu que je t'échappe ? Ah ! Ne t'alarme pas, v.81 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Un libre accès chez vous me fut toujours permis, v.86 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Peut-on ne pas l'aimer sans manquer de raison ? v.97 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Il y peut bien avoir plus de cinq fois quatre ans, v.114 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Qu'une Dame à cheval, qu'avait un homme en croupe, v.115 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Passa par cette ville, allant à Gadaloupe, v.116 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Du logis que j'occupe en vint faire le sien. v.118 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Ses bras étaient petits, mais son ventre était gros, v.122 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Mais peu de temps après mon esprit fut certain, v.125 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Qu'un moment de plaisir te coûtera de peines ! v.132 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Avait bien du rapport aux cris d'un petit Chat. v.138 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Et qui quoique petit était beau tout à fait. v.142 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Mais la mère à l'enfant ne put me le permettre, v.144 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- A son enfant tout nu je donnais des drapeaux, v.150 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- De quoi l'entretenir, et payer ses dépenses v.165 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Peut-on souffrir une douleur plus dure ! v.183 (Acte 1, scène 4, LAZARILLE)
- Et lorsque par son ordre on peut tout espérer, v.185 (Acte 1, scène 4, LAZARILLE)
- Cependant, animé d'une animé d'une ardeur assez grande, v.211 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- J'entends du bruit, fuyez, et de peur que de vous v.225 (Acte 1, scène 5, STÉPHANIE)
- Sans que dans mes respects, j'ai osé vous le dire. v.236 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Il dit que c'est de vous que dépend son bonheur ; v.238 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Et vous pouvez penser que sa flamme est bien forte, v.239 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Et que prétendez-vous, ô Maître un peu trop lent ? v.266 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- C'est donner à ma peine une faible allégeance. v.284 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Un amant véritable a trop peur de mourir, v.290 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Penses-tu qu'au moment qu'on adore une belle, v.291 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Puisse expirer sans peine après un noble choix ? v.294 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Avoir peur de la mort, et puis craindre la vie ; v.300 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Et je dois, ou le perdre, ou du moins l'éloigner. v.306 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Qu'au mérite de matois nul ne peut m'imiter, v.310 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Sa personne à peu près est égale à la tienne. v.316 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Pour peu que ton zèle s'applique v.319 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- À vouloir me servir aux dépens de l'Afrique, v.320 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Tu peux en secondant les desseins que je fais, v.321 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Moi que je vous oblige aux dépens de l'Afrique ? v.323 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Tu le peux. v.324 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- De l'Afrique ai-je la dépendance ? v.327 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Avec un qui peut-être est bâtard de mon père, v.332 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Ne peut être plus long que de là jusqu'ici ; v.334 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Gusman avec l'Afrique ayant peu de commerce, v.336 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Si d'un tourment plus rude on peut sentir l'atteinte. v.348 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Votre mère affligée en ce lieu vous appelle. v.354 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- De tout autre qu'un oncle à qui l'on doit respect, v.359 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Un billet si fâcheux pourrait m'être suspect : v.360 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Pourtant, ou je me trompe, ou tu dis hier au soir, v.363 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Et la mort de mon Père à Tolède m'appelle. v.378 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Que chacun le respecte, et que chacun l'estime, v.398 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Cependant de l'amour je sens la tyrannie, v.409 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Un peu si vous le trouvez bon. v.411 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Et si votre Excellence à ma perte animée, v.425 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Un esprit si fameux ne peut rien oublier. v.444 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Qu'elle est sotte ! Allons donc qu'on l'appelle ! v.450 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Quelle est ma peine ? v.466 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Monseigneur, les respects... v.467 (Acte 2, scène 3, FERDINAND)
- Je suis grand personnage, et malheur à qui m'outre. v.470 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- A l'aspect du bonheur qui déjà vous attend ; v.496 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Venez ; car je vous aime, et je suis cependant v.503 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Qu'il s'en faut peu souvent que la mort ne l'attrape, v.533 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Et quand la mort nous tient rarement on échappe, v.534 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- A m'aimer tant soit peu, nous pourrions en découdre, v.538 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Un hymen entre nous a si peu d'apparence, v.549 (Acte 2, scène 3, STÉPHANIE)
- D'attirer des respects, et non pas de l'amour. v.552 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Après que noblement j'ai dépeint mon ardeur, v.555 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Pensent journellement établir leur fortune, v.562 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Je crois peu, quelques feux dont vous soyez épris, v.571 (Acte 2, scène 3, STÉPHANIE)
- Et cachant ce qu'en vous je dois voir de suspect, v.575 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Faites naître un amour qui succède au respect. v.576 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Tu peux suivre sa piste et courir après elle. v.578 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- A si peu de vertus et paraît si brutal ? v.584 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- Et tu peux te résoudre à lui faire la Cour ? v.588 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- Tu peux par complaisance applaudir sa faiblesse ? v.590 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- Sa grandeur t'éblouit, et tu n'aperçois pas, v.591 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- Qu'avec toute sa pompe il n'a rien que de bas : v.592 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- Ami, sois un peu moins crédule, v.597 (Acte 2, scène 4, FABRICE)
- Que chacun le respecte, et que chacun l'estime, v.610 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Que d'assouvir ma rage aux dépens de sa vie. v.618 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Savoir la mort d'un Père et perdre une Maîtresse ? v.630 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Ôtes si tu le peux ce dessein de son âme ; v.634 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Peste quel avaleur de pois gris ! Dans sa bouche v.637 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Car, suivant ma pensée, il vient de t'effrayer, v.640 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Dès ce soir, tu peux donc, cher Valet.... v.643 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Et que dans un amour qui me touche fort peu, v.647 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Quel plaisir peux-tu prendre à commettre ces fautes ? v.657 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Me ferait ce me semble un plaisir peu plaisant. v.660 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- À peu près. v.663 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- On peut charmer ses yeux et les rendre éblouis. v.664 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- On se loge où l'on peut, et non où l'on se plaît, v.686 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Et je ne pense pas que dans tout le Royaume v.688 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Il est plein de tristesse, allez au petit pas, v.693 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Et faites s'il se peut qu'il ne s'éveille pas. v.694 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Et que dessus ce lit je fasse un petit somme : v.711 (Acte 3, scène 2, HENRIQUEZ)
- Mais de peur qu'en marchant je n'éveille cet homme, v.712 (Acte 3, scène 2, HENRIQUEZ)
- Peste tout tourne, où suis-je ? Ô Cambrouse endiablée ! v.715 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Loin d'être courageux, je crains une vapeur, v.721 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Et je tremble de peur de donner de la peur, v.722 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- De peur que chez le Diable en peu d'heure il ne tombe, v.728 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Peut-être ici quelqu'un est venu se cacher, v.738 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Je vais être assommé s'il me peut entrevoir. v.741 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Afin que ma douleur puisse un peu s'apaiser, v.745 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Qu'un poltron a de peine à donner de la crainte ! v.751 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Emploi de faire peur je te prends par contrainte ; v.752 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- A parler franchement l'avantage est petit, v.757 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- D'avoir peu de cervelle et de faire de l'Esprit, v.758 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- De donner de la peur et de n'en prendre point, v.762 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- En faveur de Fabrice, ô coeur prends cette peine, v.763 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Pour la seconde fois faisons peur. Lazarille, v.771 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Au moins permettez donc que mon oeil se défile, v.787 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Et cessez s'il se peut d'affliger Lazarille. v.788 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Qui n'est plus ce qu'un esprit ne peut être visible : v.792 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Les Enfers pour me perdre ont vomi quelque Diable, v.796 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Châtiera mon esprit aux dépens de mon corps. v.798 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Suffit, mais soulagez ma peine, v.799 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- De pouvoir vous toucher la faveur m'est permise, v.804 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Je plus infortuné de la troupe d'Esprits, v.814 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Si j'ouvre ma lanterne ils me rompent le cou, v.822 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- A ne pas ouvrir de peur qu'on me discerne. v.824 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Et j'eus trop peu d'esprit quand je le voulus faire. v.832 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Il a perdu le sens, quelle angoisse mortelle ! v.839 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Pour si peu qu'il est mort ce n'en est pas la peine. v.848 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Si je suis mort, c'est donc sans m'en apercevoir : v.849 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Mais de quelle personne as-tu pu le savoir. v.850 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Il faut le détromper, hola de la chandelle. v.852 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Cependant ma frayeur est sans comparaison. v.857 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Une peur effroyable a coulé dans mon âme. v.864 (Acte 3, scène 4, LAZARILLE)
- C'est ma pensée, et l'ombre en a bien l'encolure. v.887 (Acte 3, scène 5, L'HÔTE)
- À mon secours, mon Maître, on me veut mener pendre. v.891 (Acte 3, scène 5, GUSMAN)
- Celui qui cette nuit t'a causé de la peur, v.897 (Acte 3, scène 6, FABRICE)
- Quoi vous voulez ma perte et vous l'en assurez ? v.910 (Acte 3, scène 6, LAZARILLE)
- Un Père m'opprimer, consentir à ma peine : v.911 (Acte 3, scène 6, LAZARILLE)
- Mais, ô Dieux ! j'aperçois Ferdinand qui l'amène, v.912 (Acte 3, scène 6, LAZARILLE)
- Cela peut. v.915 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- J'ignore en quel lieu ce peut être. v.915 (Acte 3, scène 7, FERDINAND)
- Ce bonhomme sait tout. Cependant de Fabrice, v.927 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
GERMANICUS (1694)
- Ma soeur... Mais je m'oublie, et je perds le respect, v.1 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Ce nom, qui m'était cher, vous doit être suspect, v.2 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Madame, et votre hymen, dont la pompe s'étale, v.3 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Que cette adoption, pour peu qu'on s'en prévale, v.15 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Tout ce qu'on peut devoir à l'épouse d'un homme, v.23 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Ce mot n'échappe guère à celles de mon rang : v.34 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- À Drusus qui vous plut l'Empereur me destine : v.39 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Mais l'amant que je perds en est un achevé : v.46 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Je le perds ce héros, et mon âme charmée v.51 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Et pour fixer ses voeux j'eus trop peu de mérite. v.56 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- En voyant tant d'appas son amour peut renaître : v.76 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- À ce premier aspect nos esprits se troublèrent ; v.111 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- À le haïr, Madame, avez-vous quelque pente ? v.127 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Un mois est peu de chose, il me suffit. v.137 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Un mois est peu de chose à vous qui n'aimez pas ! v.138 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Quelque peine pourtant que votre ordre me cause, v.147 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- En pensant le haïr vous feriez le contraire. v.152 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- C'est moi qui vous en prie : et peut-être entre nous, v.153 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- L'Empereur le commande, il faut bien obéir. v.158 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Pour haïr ce qu'on aime un mois est peu de chose : v.160 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- On hait mal-aisément ce qu'on aima sans peine : v.164 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Mandez-lui qu'à ses voeux l'Empereur vous arrache : v.171 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Ne vous exposez point à des peines mortelles. v.179 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Un respect si profond... v.189 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- De peur de le contraindre éloigne-toi d'ici. v.190 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Cette lettre, où sont peints vos secrets, v.193 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Aurait peine, peut-être, à se faire souffrir. v.202 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Cependant prés de vous on cherche à me détruire ; v.214 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Je sais que l'Empereur parlera contre moi : v.221 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Et quel zèle pour moi peut être égal au vôtre ? v.232 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- De semblables secrets souffrent peu de témoins. v.233 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Hélas ! Que n'en sais-je un peu moins. v.234 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Loin de me repentir de vous avoir servie, v.239 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Ce discours me surprend, et j'ai peine à comprendre.. v.243 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Et s'il se peut, Madame, ignorez-les toujours. v.254 (Acte 1, scène 4, PISON)
- J'appelai cette estime une amitié fort tendre : v.268 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mais si votre destin en peut être plus doux, v.285 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- De vos rares vertus je ferai la peinture : v.288 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- J'avais peur d'être ingrate, et je me sens ravie v.291 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Peut être comparée avecque vous, Madame : v.296 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Quand je vous aperçois, j'aperçois tous ses traits ; v.297 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mais calmez ce courroux, ou daignez le suspendre ; v.304 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Cet amour que j'étale a dû peu vous surprendre ; v.311 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Eh ! que n'ai-je pas fait pour aimer un peu moins ? v.322 (Acte 1, scène 4, PISON)
- À l'aspect imprévu d'un mérite sublime, v.323 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Vous soyez peu coupable, ou ne le soyez point : v.334 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Croyez-vous qu'envers lui vous soyez peu coupable ? v.340 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Et ne songez-vous point que vous seriez perdu, v.341 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Si ma témérité, qu'un seul mot peut confondre, v.343 (Acte 1, scène 4, PISON)
- D'un ami si perfide aurait lieu de se plaindre ; v.348 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Je l'ai peint à vos yeux tel qu'il est dans mon âme ; v.352 (Acte 1, scène 4, PISON)
- De sa main, me dirais-je, il ne peut jamais l'être ; v.388 (Acte 1, scène 4, PISON)
- En quelqu'autre climat que le Ciel vous appelle, v.407 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- D'une main qu'il adore il respecte les coups. v.418 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Qui dans tout l'univers se cacherait à peine ; v.432 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Vengé nos légions, et réparé nos pertes, v.436 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Me le peindrait sans cesse avec sa Renommée : v.440 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Il aura peu de peine à rentrer dans son coeur. v.449 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Ce conseil, cher Albin, m'échappe avec douleur. v.450 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- C'est vers lui que je penche, et cent fois chaque jour, v.453 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Notre hymen achevé, c'est vers lui que je penche : v.456 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Je perds bien plus en lui qu'il ne peut perdre en moi. v.462 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Pense-t-il qu'à ses yeux je captive mes larmes ? v.467 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Il ne s'oubliera point à votre auguste aspect : v.477 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Cet amant qui perd tout ne perd pas le respect. v.478 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Il vous aime, et vous perd : Sa gloire est sans seconde v.479 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Madame, encor un coup, permettez qu'il vous voie ; v.483 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Au nom d'un peu d'amour, s'il vous en reste encore ; v.488 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Et de peur de sa mort qui suivrait vos refus, v.489 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Amène ici ce Prince ; et de peur qu'on le voit, v.499 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Un Guerrier si fameux, dans un lieu si suspect, v.501 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Alarmerait Tibère, à qui je dois respect. v.502 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- D'un Amant qu'on doit perdre écouter les soupirs, v.505 (Acte 2, scène 2, AGRIPPINE)
- Étaler mon respect, et non plus mon amour. v.518 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Soit qu'on naisse du Peuple, ou d'un sang qu'on renomme, v.523 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Suspendez leur pouvoir qui fait naître ma peine, v.547 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Qu'à ses lois, qu'il respecte, il est prêt de se rendre ; v.568 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Mais, s'il faut tout vous dire, il est si peu constant v.569 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Mais à moins d'être prompt vous perdez votre peine : v.575 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- J'obéis sans réplique ; et de peur qu'on l'amène... v.587 (Acte 2, scène 3, PISON)
- N'a-t-il point demandé si je le perds sans peine ? v.588 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Et si vous le perdez sans verser quelques larmes ? v.592 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Les moments durent peu quand on voit ce qu'on aime. v.600 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Cependant... v.643 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Mais vous ne savez pas quelle peine il m'en coûte : v.648 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- J'obéis avec peine, et me fais violence ; v.656 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Et de peur que l'amour n'ébranlât le devoir, v.669 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Ces regrets si touchants ont pour moi peu d'appas ; v.673 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- C'est me faire un honneur qui m'est peu nécessaire. v.676 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- De ce qui peut vous plaire il fera ses plaisirs ; v.681 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Peut-être avouerez-vous qu'on me fait injustice, v.692 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- De peur de vous trahir, je vous le dit tout haut. v.701 (Acte 2, scène 4, PISON)
- Il échappe à ma gloire un désir criminel. v.714 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Tout ce qui de nos feux peut retracer l'idée ; v.720 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Au fils de l'Empereur votre coeur fait la cour ; v.729 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Hé bien, Madame, allez, perdez-en la mémoire ; v.735 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Le bonheur qui m'échappe, est un bonheur insigne, v.759 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Désormais, par respect, je ne vous verrai plus. v.770 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Sortez donc vite, Prince, et ne me perdez pas. v.774 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- Si Drusus l'aperçoit, l'apparence me perd ; v.785 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- Cependant tout mon crime est de l'avoir souffert. v.786 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- Quelqu'un peut avoir vu Germanicus ici. v.794 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Prés du Mont Apennin Rufus l'a rencontré : v.817 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- L'Empereur par lui-même en vient d'être assuré. v.818 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Mais le peuple charmé, loin de vouloir l'entendre, v.831 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Car enfin, c'est en vain que l'Empereur s'obstine v.855 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Son amour à ses yeux n'a permis que des larmes ; v.868 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- De ces pleurs tout-puissants le charme imperceptible, v.875 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Seigneur, vous auriez quelque peine v.891 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- La fierté que je montre est peut-être assez juste. v.900 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Le trouble où je vous vois me découvre sans peine v.911 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Je cherchais à vous perdre, et m'étais applaudie v.915 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- D'avoir tant de témoins de votre perfidie : v.916 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Que pardonne avec peine un généreux courage : v.944 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Plus pesants mille fois que ne le sont les autres, v.948 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- L'Empereur le voulut, et pouvait tout oser. v.949 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Pour n'en plus échapper je vous les redemande. v.956 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Vos perfides serments, tant de fois redoublez, v.965 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Non, non, le repentir où votre âme est forcée, v.967 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Vous sentiriez, pour peu que vous soyez sensible, v.983 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Ne perdez point de temps, Madame, vengez-vous. v.990 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Je vous l'offre avec joie, et la perdrai sans peine, v.999 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Vous corrompez, ingrat, jusques à ma raison : v.1014 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Je crois avoir perdu les moments de ma vie v.1025 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Tandis que votre haine est encor suspendue, v.1053 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Et le crime fatal, que j'osais me permettre, v.1061 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- À l'hymen que je fuis ne consent qu'avec peine : v.1070 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- L'Empereur est mon père, et je l'attendrirai. v.1080 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Que si tant de douleur ne peut vous satisfaire, v.1085 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Que d'appeler mon frère au secours d'un Ingrat. v.1092 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Je me défendrai mal pour peu qu'il vous appuie : v.1093 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Et de peur de me rendre il est temps que je fuie. v.1094 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Ma haine en sa faveur aurait peine à durer. v.1095 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Me sera-t-il permis de rentrer dans vos fers ? v.1100 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Je perds Germanicus, et le perds à regret ; v.1107 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Qui deviennent permis en faveur d'un époux. v.1116 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Avec un peu de temps me rendra plus sensible. v.1118 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Jusques-là, s'il se peut, souffrez que chaque jour v.1119 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Vous aurez de la peine à vous apercevoir, v.1123 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Non, c'est trop vous gêner : l'Empereur pour vous plaire, v.1125 (Acte 3, scène 4, DRUSUS)
- Je me perds. Mais, Flavie, un coeur comme le mien, v.1191 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Si vous déshonorez le peu que j'ai d'appas ; v.1207 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Mais par votre respect méritez mon silence. v.1218 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Il n'échappera rien qui me puisse offenser. v.1224 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Malgré ce fier mépris, je ne perds pas l'envie v.1225 (Acte 4, scène 1, PISON)
- De vous être fidèle au dépens de ma vie. v.1226 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Le bruit de ses exploits est suspect à Tibère : v.1238 (Acte 4, scène 1, PISON)
- C'est me perdre. v.1245 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Que je te perde, ou non, malheureux, que m'importe ? v.1246 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Si tu perds un héros qu'adore l'Univers, v.1247 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Ce qui peut y rester vaut-il ce que tu perds ? v.1248 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Ce que j'ai fait pour vous, vous permet-il de croire, v.1257 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Peut-être pour ce crime eût-il choisi mon frère : v.1266 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Appuyé de Tibère il le perdra sans doute, v.1269 (Acte 4, scène 1, PISON)
- L'Empereur qui lui parle, et qui sait l'art de feindre, v.1277 (Acte 4, scène 1, PISON)
- J'ai tantôt, je l'avoue, avec un peu d'aigreur v.1307 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- La douleur de vous perdre interdit bien une âme ; v.1310 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Quand on aime ardemment et qu'on perd ce qu'on aime, v.1313 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- On se fait un plaisir de se perdre soi-même ; v.1314 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Cependant sa tendresse excusant mon audace, v.1321 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Permets que ce héros m'aime assez pour me croire : v.1334 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et pour tromper le sort qu'il vous faut redouter, v.1359 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et qui peut mettre obstacle au succès de ma flamme ? v.1361 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- D'un triomphe superbe honorer ma victoire : v.1366 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et les peuples fameux de ces plaines fécondes, v.1377 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et sous un Empereur qui ternit son éclat, v.1387 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Que l'espoir de me perdre est ce qui fait sa joie ? v.1390 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et quand des plus méchants il résolut la perte, v.1433 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- À sa Cour, où l'usage a permis les adresses, v.1437 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et ce que l'on veut perdre, on le perd avec art. v.1440 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- De vos fiers ennemis, trompez l'indigne espoir ; v.1443 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Il ne m'est pas permis d'en dire davantage : v.1446 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Que perdez-vous en moi pour balancer ainsi ? v.1448 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Ce que je perds ! l'ignorez-vous, Madame ? v.1449 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Je perds ce que le Monde a de plus achevé. v.1452 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Je perds, si la fortune à ce point m'est cruelle, v.1453 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et pour dire encor plus, je perds, enfin, je perds v.1455 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Mon coeur reconnaissant ne peut trop l'avouer, v.1471 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Dissipez votre erreur, et connaissez Tibère : v.1481 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Me faire assassiner ! Lui, Madame ? On vous trompe. v.1489 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Hé bien, cruel, souffrez qu'il vous corrompe : v.1490 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Croyez qui vous veut perdre, et ne me croyez pas. v.1492 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Que loin d'avoir, Seigneur, tant de peine à me croire, v.1494 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Mais ma vie, et sa joie auront peu de durée ; v.1502 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Si j'échappe à sa haine, expirer de douleur, v.1515 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Vous perdre, enfin, Madame, est-ce un moindre malheur ? v.1516 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- J'ai peur, si je restais plus longtemps en ces lieux, v.1519 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Ne peut s'accoutumer à voir couler vos larmes : v.1530 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Cher Prince, que je perds, et que j'aime toujours, v.1535 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- De peur d'être écouté ne m'opposez plus rien. v.1539 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Si du trouble où je suis il peut être averti, v.1547 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- S'il peut... Germanicus ne sera point party. v.1548 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Un peu de défiance eût été pardonnable. v.1550 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Juste Ciel, à sa perte aurais-tu consenti ! v.1555 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- De contenter mes voeux Flavie a peu de soin : v.1567 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Elle a su quels objets occupaient ma pensée. v.1570 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Un spectre encor sanglant s'est offert à mes yeux, v.1572 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Hélas ! Flavie, hélas ! que tu m'as mise en peine ! v.1577 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Madame, et tous mes soins ont été superflus. v.1583 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Flavie ; et laisse-là l'Empereur et la Cour. v.1600 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Drusus en est lui-même en des peines cruelles. v.1609 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Il ne peut quoiqu'il fasse en avoir des nouvelles. v.1610 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Pour le pompeux Hymen qu'on célèbre aujourd'hui, v.1611 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- En quelque lieu qu'il soit aucun n'en peut rien dire. v.1613 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Aux dépends de ma vie achève ton bonheur : v.1619 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Flavie ; un peu de joie à ma douleur succède : v.1630 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Il s'en est peu fallu qu'il ne m'ait méconnue : v.1646 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Mais prés d'un Empereur sous le vice abattu, v.1667 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Jusqu'ici cependant on ignore son sort. v.1671 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Lui de qui tant de fois le zèle peu commun... v.1691 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Et tu peux hautement prétendre au Consulat, v.1699 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Flavie, as-tu compris la grandeur de ma peine ? v.1701 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Le perfide ! Et tu ne peux me dire v.1705 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Comment Germanicus a-t-il perdu la vie ? v.1714 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Le Perfide Pison osa-t-il l'attaquer ? v.1715 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- De peur de m'attendrir tu n'oses t'expliquer. v.1716 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Germanicus le pleure, et peut-être le venge. v.1722 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et qu'en le caressant l'Empereur l'eût jurée ; v.1730 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- D'abord qu'il l'aperçoit lui présente la main : v.1743 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Le conduit avec pompe, et veut que son aspect v.1747 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Aux premiers de sa Cour imprime du respect. v.1748 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- De peur d'être accusé d'avoir trahi Tibère, v.1761 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- À peine est-il sorti qu'un grand bruit nous surprend : v.1763 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Il me permet de voir quel sujet le fait naître ; v.1766 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Cependant à ma voix il m'a connu d'abord. v.1772 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Croyant au lieu de moi perdre Germanicus, v.1792 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Me perce en tant d'endroits, sans toucher à mon coeur, v.1796 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Ait voulu respecter l'image d'Agrippine ; v.1798 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et sûr qu'en vous servant il va perdre le jour, v.1815 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- L'infortuné Pison vient de perdre la vie : v.1822 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- Tout ce que dit César vous doit être suspect. v.1831 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- Prince, il est votre père, et je perds le respect : v.1832 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- À l'aspect des tourments se dédira peut-être : v.1838 (Acte 5, scène 4, DRUSUS)
- Suspendez jusques-là votre ressentiment ; v.1839 (Acte 5, scène 4, DRUSUS)
- Il nous veut perdre tous, puisqu'il en use ainsi. v.1844 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- Nous sortons du Palais, où le peuple irrité v.1847 (Acte 5, scène 4, LIVIE)
- Il allait s'échapper à quelque violence, v.1849 (Acte 5, scène 4, LIVIE)
- S'est résolu sans peine à ce grand changement : v.1852 (Acte 5, scène 4, LIVIE)
- Mais l'Empereur... v.1861 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- Vous, cependant, Albin, qui m'êtes si fidèle, v.1869 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
LA FÊTE DE LA SEINE (1690)
- Trouvent la fin de leurs peines, v.69 (Acte 1, scène 2, DEUX NEREIDES)
- Pendant que l'on en jouit v.77 (Acte 1, scène 2, UNE JEUNE FONTAINE ET UN RUISSEAU)
- Ne perdons pas un instant v.79 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- Ne perdons pas un instant v.85 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- Pendant que l'Univers éprouve tant d'alarmes. v.102 (Acte 1, scène 2, LE GANGE)
- Pendant que les Bergers au murmure des eaux, v.119 (Acte 1, scène 2, LE DANUBE)
- Pendant que l'Univers éprouve tant d'alarmes. v.125 (Acte 1, scène 2, LE GANGE, LE NIL, LE PACTOLE, LE DANUBE)
- Que par toute l'Europe on arbore ses lys, v.131 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- L'Europe est charmée, v.153 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Pour affranchir du joug tant de peuples divers, v.163 (Acte 1, scène 2, LE GANGE et LE NIL)
- On peut chanter et rire; v.169 (Acte 1, scène 2, LE DANUBE, LE PACTOLE)
LES MOTS À LA MODE (1694)
- Contre ce beau mémoire elle ne peut rien dire ; v.3 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Dans un coin, à l'écart, j'aperçus ce Mémoire. v.12 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Encore est-il certain, à bien peser les choses, v.23 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Est-ce peu pour un sot de la douleur de l'être ? v.31 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Qu'il fait tout ce qu'il peut pour s'empêcher de l'être ? v.36 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Est appelé par elle Alexandre le Gros. v.58 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- On ne peut là-dessus lui faire ouvrir les yeux : v.61 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Tout ce qu'elle dépense à faire un mari sot ! v.78 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR JOSSE)
- Leurs familles ? Eh si ! Perdez-vous la raison ? v.85 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Et non pas de ces gens faits pour en dépenser, v.94 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Que dirait-on de pis chez de petites gens ? v.98 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- À moins d'être du « Peuple » on ne dit point « ma Femme », v.99 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Pour peu qu'on ait de « Goût » au rang où je me vois, v.105 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- L'un s'appelle Champagne, et l'autre a nom la Brie. v.124 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Appeler de ses gens, qui ne dise, « hé quelqu'un » ? v.130 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Prendre si peu de soin de sa postérité. v.138 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Lui ferait-il l'affront de l'appeler Nannette ? v.148 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Que vous m'appelassiez simplement votre père ; v.152 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Ont une extrême peine à ne pas le paraître : v.156 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Défend à ses enfants de l'appeler leur père. v.160 (Acte 1, scène 4, BABET)
- C'est une vérité qu'on peut vous garantir v.161 (Acte 1, scène 4, BABET)
- J'en sais bien la raison : c'est de peur de mentir. v.162 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Souvent un avocat donne toutes ses peines v.163 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Aux affaires d'autrui, pendant qu'on fait les siennes. v.164 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Craignez-vous de mourir dans la peine ? v.188 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Peut jamais, quoi qu'il fasse, être à notre « niveau » ? v.198 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Fais comme une peinture et jolis à manger : v.202 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Je ne vois qu'à vous seul « ces petites manières ». v.207 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Ce que personne ici ne doit faire que moi. v.214 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- D'hier à dix heures, je pense. v.223 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- À peine un « gros » Seigneur, que le rang autorise, v.227 (Acte 1, scène 6, MADAME JOSSE)
- Se serait-il permis cette « grosse » sottise. v.228 (Acte 1, scène 6, MADAME JOSSE)
- Avez-vous peur v.241 (Acte 1, scène 6, MADAME JOSSE)
- Et l'on distingue à peine en un même quartier, v.249 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- De souffrir que ses gens l'appelassent Madame ; v.252 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Et vous, respectez leur noblesse. v.271 (Acte 1, scène 7, MADAME JOSSE)
- Et qu'il ne vous échappe aucun mot qui la blesse. v.272 (Acte 1, scène 7, MADAME JOSSE)
- Mais à voir tant d'appas pour peu qu'il persévère, v.279 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DE L'ORME)
- On aurait de la peine à mieux le mettre en ouvre. v.292 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Point du tout ; je l'honore autant qu'on le peut faire : v.299 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- Mais je l'aime un peu vieille, et marquée au bon coin. v.302 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- Fi ! Peut-on avouer qu'on aime la vieillesse ? v.303 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Moi, je lui soutiens, moi, qu'on ne peut mieux parler. v.318 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Est-ce l'Académie où l'on peint ? Où l'on grave ? v.324 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- C'est vers la « bourgeoisie » un reste de penchant v.337 (Acte 1, scène 9, MADAME JOSSE)
- Qu'elle entre. Ces Messieurs permettront bien cela. v.341 (Acte 1, scène 9, MADAME JOSSE)
- Et toutes ces fois-là j'ai perdu ma visite. v.344 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Comment te portes-tu ? J'en suis en peine. v.345 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- On me chasse ; et l'on veut que je m'en aperçoive. v.351 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Apporter pour Marote un petit tabouret. v.354 (Acte 1, scène 10, MADAME JOSSE)
- Car je ne pense pas que votre orgueil vous porte v.355 (Acte 1, scène 10, MADAME JOSSE)
- Non pour avoir l'honneur d'être un peu mieux assise ; v.360 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- De l'être un peu plus mal que les autres ne sont. v.362 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Que le monde aujourd'hui se rend peu de justice ! v.363 (Acte 1, scène 10, NANNETTE)
- Et qu'aux petites gens l'audace est un sot vice ! v.364 (Acte 1, scène 10, NANNETTE)
- Je m'en vais le changer, sans y perdre un moment. v.381 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Franchement, l'insolence allait un peu trop loin. v.438 (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DU RUS)
- Qui pour être boucher ayant trop peu d'esprit v.445 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Entendez-vous jaser la petite pimbêche ? v.452 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Pour voir votre noblesse un jour aller au peautre ; v.459 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- À ses petits besoins a pris foin de pourvoir. v.494 (Acte 1, scène 13, MONSIEUR JOSSE)
- C'est fort bien dit. Peut-être v.503 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Je ne sais que penser de tout ce que je vois. v.505 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- La peste ! Un « Mousquetaire » est assez bien choisi. v.537 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Aurait peine à trouver son égal. v.544 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- « Plus » pour des « papillons », des « guêpes », des « chenilles », v.568 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Ou qu'il soit dans trois jours bien et dûment pendu. v.574 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- On ne peut d'un voleur se défaire trop vite. v.576 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Pendez, pendez. v.577 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Crois-moi, de peur d'être étranglé, v.577 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Avec un peu d'esprit jamais on ne demeure ; v.583 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Elle dépense mieux son argent que cela : v.606 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Des « gourgandines » ! Ciel ! Quelle Peste voilà ! v.622 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- S'appelle un « Boute-en-train », ou bien un « Tâtez-y » v.646 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Ce qu'on nomme aujourd'hui « guêpes » et « papillons », v.653 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Est ce que par le monde on appelle « effrontée ». v.664 (Acte 1, scène 15, BABET)
- À ce compte, mon mal n'était donc qu'une peur, v.670 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Et je vais tout permettre à mon juste courroux. v.674 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- D'avoir, ou peu s'en faut, fait une brèche au mien. v.682 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- On ne peut de l'honneur se montrer trop friande ; v.683 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Cette brutalité n'est point du tout permise : v.687 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Que pouvais-je penser de ce mémoire-là ? v.690 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- De voir de la pudeur faire si peu de conte ? v.696 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Franchement, ces mots-là sont un peu saugrenus. v.706 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Vous et vos Grippechairs vous pouvez disparaître, v.711 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Mon devoir en d'autres lieux m'appelle : v.724 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- J'en suis quitte à bon compte, et la peine est petite. v.727 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Et l'affront qu'il m'a fait se peut-il oublier ? v.742 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Il faut qu'à son époux, de peur d'avoir du bruit. v.765 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Aussi, vivons-je heureux comme de petits Rois. v.774 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Et, si faire se peut, plus de richesse encor ; v.782 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Et qui mènent l'esprit à de sales pensées. v.784 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- S'ils rendent ma conduite ou douteuse, ou suspecte, v.791 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Pour les dire jamais, j'ai trop peur qu'on me gronde. v.795 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Et vous, allez souper, Messieurs, si bon vous semble. v.800 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- D'impertinents parleurs et de nobles bourgeois, v.802 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- La Noblesse en détrempe, et les Mots à la Mode. v.804 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
LA COMÉDIE SANS TITRE (1694)
- Tiens, ne perds point de temps en de vaines paroles. v.26 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Ah Merlin ! Je me trompe, ou ce quadruple est creux. v.36 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Je ne me trompe point, il est creux ; oui, sans doute : v.37 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Voyez, sans perdre temps, comment sa pièce s'ouvre. v.46 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Justement. J'aperçois son billet ; le voilà. v.48 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Quel zélé plus ardent peut-on faire paraître ? v.53 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- A fait un petit vol de deux cens mille francs. v.96 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Mille louis ? C'est un homme perdu. v.99 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Plût à Dieu les avoir, et qu'il fût bien pendu ! v.100 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Lui semble un guet-apens pour lui meurtrir les bras : v.104 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- D'auprès de sa personne est sur d'être exilé ; v.108 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Vous êtes fort bien fait ; on ne peut l'être mieux. v.123 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Qu'on ne peut être Noble et porter ces noms-là. v.140 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Et rappeler de loin une famille illustre : v.146 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- En langage commun appelle Apothicaire. v.158 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Dépend-il de nous d'être de qualité ? v.159 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Je me fais par mes gens appeler Chevalier : v.168 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- La maison que j'occupe a beaucoup d'apparence, v.169 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Et personne à présent ne sait plus ma naissance. v.170 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Mais le Roi qui peut tout aurait peine à le faire. v.173 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Le Bisaïeul peut-être encore moins que cela. v.175 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Cela ne se peut pas, vous dis-je. v.187 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Le Seigneur d'une terre un peu considérable, v.193 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Ce nom de père en fils se perpétue à tort ; v.195 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Peut-on s'accommoder d'une chose si fade ? v.210 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Ah ! Ah ! Voici d'un style un peu rude. v.211 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Peur être en cramoisi fit défaire une housse. v.222 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Pour le mot de Bourgeoise un peu trop répété, v.231 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Pour peu que l'on soit blanche ou le paraît bien plus : v.256 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Parlez donc, petit sot. v.267 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Louez-moi, je vous prie, imperceptiblement, v.276 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Petit gueux. v.293 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Comment ! Petite rosse, v.293 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Doit avoir du respect : pour ce que Monsieur touche. v.310 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- S'il peut l'avoir pour gendre, il sera trop content. v.319 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Trop petit pour un homme, et trop grand pour un nain, v.332 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Tout va comme Cécile à peu près l'a voulu. v.339 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- Ce qui peut mettre obstacle au bien qu'on vous destine, v.353 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Cette grande perruque, et ce linge et ce point, v.355 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Par là votre dessein peut être divulgué. v.359 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Tu peux lui demander si je mens. v.377 (Acte 2, scène 2, MERLIN)
- En dissiper la crainte ; y remettre l'espoir ; v.383 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Êtes-vous assuré que personne n'écoute ? v.414 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Cela posé, j'ai cru pouvoir tout me permettre, v.421 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- J'ai toujours eu le soin d'étendre un peu mes droits. v.424 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Dans des pelles meilleurs je prenais davantage ; v.426 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Mais tous ces petits gains par leurs faibles appas, v.427 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Vous vous piquez d'honneur un peu mal à propos. v.440 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Quel grand mal ? Trouvez-vous qu'il soit petit ? v.445 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Je plains ceux qu'en spectacle en ce lieu l'on expose : v.450 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- On lui prête sans peine un million, et plus : v.456 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- C'est vendre son honneur tout ce qu'il peut valoir. v.468 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Mettez-vous en ma place, et pensez bien... v.477 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Vous marchiez librement, sans peur d'être arrêté ; v.483 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Et vous avez perdu jusqu'à la liberté. v.484 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- De l'argent qu'on a pris fait de la peine à rendre : v.489 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Mais on souffre encor plus quand on se laisse pendre ; v.490 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Ce sont cent mille francs que je perds ; mais qu'y faire ? v.493 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Vous passeriez peut-être assez mal votre temps. v.504 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Et vous vous appelez Monsieur de Longuemain. v.508 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Rien ne peut vous sauver, si l'on vous pousse à bout. v.515 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- On vous y forcerait, et vous feriez pendu. v.519 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Ne me pendrais-je pas si j'avais tout rendu ? v.520 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Comme il vient sans travail peut se perdre sans peine : v.522 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Ne peut faire acquérir qu'aux dépens de l'honneur ; v.524 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- C'est un pire destin que de se laisser pendre. v.530 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- S'il faut être pendu, ce n'est pas une affaire. v.533 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Suis-je bien ? Ma perruque... v.538 (Acte 2, scène 5, ORONTE)
- Monsieur, avec respect je reçois cette grâce. v.546 (Acte 2, scène 6, ORONTE)
- Au moindre événement qui fait un peu de bruit, v.551 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Ne peuvent exprimer les transports que je sens. v.560 (Acte 2, scène 6, ORONTE)
- Ne perdons point de temps, Monsieur. Que faut-il faire ? v.585 (Acte 2, scène 7, ORONTE)
- De petits ornements de devises, d'emblèmes, v.610 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Ils feront plus d'honneur à la personne morte ; v.614 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- C'est un peu de secours d'une plume savante : v.626 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Il faut dans le Mercure occuper un chapitre. v.630 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Vous dispensez la gloire. Et si votre bonté v.631 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Adieu, ménagez-moi ma petite fortune. v.650 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Il peut hâter l'effet de ma reconnaissance. v.654 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Vous voyez bien qu'il ne peut aller loin : v.655 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Et s'il perdait la vie, il gagnerait d'ailleurs. v.660 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Je n'ai vu que miroirs, que pendules, que lustres, v.685 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Que Tableaux mis au jour par des peintres illustres ; v.686 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Et de grâce, Monsieur, un peu plus d'indulgence ; v.689 (Acte 3, scène 1, ORONTE)
- Vous savez le penchant qui m'entraîne vers vous ; v.695 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Peut-être que contraint par l'aspect de Cécile, v.697 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Pendant que votre aveu peut être rétracté, v.699 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Tout ce qu'on peut sentir mon coeur le sent pour elle. v.702 (Acte 3, scène 1, ORONTE)
- Pendant une heure ou deux que je vais par la Ville. v.710 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Et vous taupez à tout en fille obéissante. v.734 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Oronte, là-dessus, ne dit point ce qu'il pense ? v.738 (Acte 3, scène 2, CÉCILE)
- Je pensais être aimé plus que je ne le suis, v.739 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- Peut-on se marier quand on n'a plus d'amant ? v.756 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Il est à Saint Germain, pour quelques jours peut-être. v.761 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Et cette Dame enfin que j'estime et respecte, v.765 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Ne doit ni vous gêner, ni vous être suspecte. v.766 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Mais comme il est fort riche, et que j'ai peu de bien. v.775 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Comme jeudi dernier j'étais un peu malade, v.781 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- L'hymen de ses plaisirs me serait peu de part. v.788 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Perdre un pareil amant, c'est perdre peu de chose. v.794 (Acte 3, scène 3, CÉCILE)
- À moi-même en personne. v.801 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Je pense massacrer de petits innocents. v.820 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Elle a raison ; parlez. Que voulez-vous qu'on pense ? v.841 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Pouvez-vous m'empêcher d'avoir peur ? v.855 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Pour m'appeler Cocu semble prendre une voix. v.864 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- À peine étais-je assis sur une de ces bornes, v.877 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Plus ils prirent de peine à me les mieux montrer ; v.880 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Étant persuadé qu'à moins d'un prompt trépas, v.883 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Une misérable oiseau pensa me rendre fou, v.887 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Tout rendait à l'envi ma pauvre âme perplexe, v.898 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Et vois un peu plus loin cette maligne bête, v.901 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Ma Cousine est croyable un peu plus que vos bêtes : v.910 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Et c'est de sa vertu faire trop peu de cas, v.911 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Pensez-vous que par elle il puisse être vaincu ? v.916 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Et moins par son penchant que pour remplir mon sort, v.919 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Sachez, petit Cousin, qui par votre menace v.957 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Et fuir le mariage un peu plus que la peste. v.961 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Mais j'aperçois quelqu'un qui nous vient interrompre. v.982 (Acte 3, scène 5, ORONTE)
- Monsieur, je suis perdu si je n'ai votre appui. v.984 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Si je n'ai votre appui je suis perdu, vous dis-je. v.986 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Vous a-t-on dérobé quelque somme un peu forte ? v.993 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Avec les tons, l'accent, dans sa perfection. v.1008 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Pendant le premier mois il ne me vint personne. v.1009 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- À Bayeux, à Falaise, à Dieppe, au Havre, à Caen, v.1024 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Peu de gens ont affaire, à Florence, à Venise : v.1025 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Comme on a vers l'espoir une pente facile, v.1030 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Je faisais afficher de nouveau ; mais ma peine v.1033 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Pendant quatorze mois a toujours été vaine ; v.1034 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Pas un seul n'a paru pendant quatorze mois : v.1039 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Tant il est vrai qu'en France on fait peu de bons choix ! v.1040 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et qui ne peut parler le langage Normand : v.1044 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Vous voyez cependant quelle comparaison ? v.1051 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et par cette raison, que je crois pertinente, v.1061 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Doutez-vous que bientôt je n'eusse pension ? v.1068 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Pour rare, il est certain : on ne peut l'être plus. v.1071 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Jamais d'un pareil choix on ne peut vous blâmer. v.1091 (Acte 4, scène 1, CLAIRE)
- Que je n'y veux penser de plus de trois semaines, v.1118 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Eût eu le déplaisir de perdre quatre époux ? v.1124 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- J'avouerai cependant, moi qui suis souvent veuve, v.1130 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Il faut négligemment savoir pencher la tête ; v.1138 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Mais pendant qu'en ce lieu je me trouve tranquille, v.1157 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- Vous n'avez point de peine à montrer qui vous êtes : v.1162 (Acte 4, scène 3, ORONTE)
- C'est qu'il est trop petit, et qu'on la trop tôt lu. v.1176 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Tout ce qui leur échappe est de si peu de poids, v.1187 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- S'il n'était des rubans, des jupes, des dentelles, v.1189 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Que vous ne parlez point, ou que vous parler peu ; v.1208 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Et cependant, ma soeur, quoique vous la soyez, v.1251 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Je sais dans quel respect la cadette doit être. v.1253 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Mais pour du jugement vous en avez si peu, v.1256 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Permettez qu'à Monsieur je parle la première. v.1262 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Pour peu qu'on me fréquente on admire cela. v.1283 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Pour peu qu'on me regarde on devine cela. v.1283 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- C'est pour un grand génie avoir peu de lumières. v.1286 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Pour me persuader qu'elles ne parlent point ! v.1293 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Et peut-on faire voir par un trait plus sensible, v.1295 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Pendant quelques moments occupe ici ma place, v.1300 (Acte 4, scène 5, ORONTE)
- Ma Cécile m'appelle auprès de ses appas. v.1301 (Acte 4, scène 5, ORONTE)
- Qui n'est grand ni petit, noir ni blanc, gras ni maigre. v.1308 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Pour peu qu'on ait de sens, ou d'érudition, v.1369 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Et tu crois au Mercure occuper une place, v.1376 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- N'as-tu rien à m'apprendre ? Est-il venu personne ? v.1388 (Acte 5, scène 1, ORONTE)
- Si c'est moi qu'elle en croit, qu'on appelle ma fille. v.1395 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Enfin je suis content tout ce qu'on le peut être. v.1400 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Peuvent contribuer à vous la rendre chère, v.1403 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Avez-vous du penchant à l'aimer ? v.1408 (Acte 5, scène 3, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- C'est dire en peu de mots tout ce que je souhaite. v.1411 (Acte 5, scène 3, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Pendant que je serai Lisette toute pure. v.1416 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Tâter un peu de tout ne me déplairait pas. v.1417 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Et si Merlin penchait du côté que je penche... v.1424 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- S'il a ce grand débit dont chacun s'aperçoit, v.1441 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Tout y sera nouveau jusques à la pensée ; v.1452 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- D'avoir dans l'univers peu d'égaux en Musique. v.1472 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- La vertu d'ordinaire est ce qu'on persécute : v.1508 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- De ceux du Châtelet dont on fait la peinture : v.1516 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Ma personne, je crois, ne vous est pas connue ? v.1527 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Procureur de la Cour, peur vous servir. v.1529 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Ou presque tout Paris pensa pâmer de rire : v.1536 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- À la sourdine encor il occupe pour elle. v.1556 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Sont pour les appelants et pour les Intimés, v.1558 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- C'était au Châtelet que pendait cette affaire. v.1564 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Moyennant pension éternise un procès, v.1566 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Lorsque d'un Chapelier on attrape un Chapeau, v.1569 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Que ceux du Parlement ne prennent point si peu ; v.1574 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Pensa dans un cachot te faire mettre au frais. v.1590 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Saris un peu de saveur n'étais-tu pas pendu ? v.1598 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Pour rompre un entretien qui me fait de la peine, v.1603 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- Et fut cause qu'OEdipe eut la douleur amère. v.1631 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Pour m'échapper j'use d'adresse ; v.1642 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Peste ! v.1671 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Pour m'échapper j'use d'adresse ; v.1674 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Peut-être à quelque mâle a fait passer le pas. v.1682 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- J'ai peint ce qu'un pinceau ne pourra jamais peindre. v.1684 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Comment l'esprit humain peut aller jusques-là. v.1686 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
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LE PORTRAIT DU PEINTRE (1663)
- Peut-être que... v.27 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Peut-être en amour n'est pas bon, v.27 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Vous m'aimeriez peut-être, et peut-être que non : v.28 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Il ne veut rien devoir au secours d'un peut-être, v.30 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- De ma chère Amarante un semblable peut-être... v.33 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Vous n'aurez point de peine, ou vous en aurez peu : v.36 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Tu peux entrer, mais pour moi je ne l'ose. v.74 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Par respect l'un et l'autre attendons qu'elle sorte. v.77 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Mais peut-on me connaître à me voir de la sorte ? v.78 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- J'ai parbleu dépensé dix mille écus en point. v.92 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Qui fait mieux des portraits que les peintres de Rome ; v.118 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Il vous dépeint, Morbleu, mais je dis traits pour traits ; v.119 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Quoi que des spectateurs tous les traits y paraissent, v.121 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- À ce compte, ce peintre en badins vous érige ? v.125 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- On appelle cela réciter comme il faut. v.152 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- On habille Amarante, et tu peux en deux mots... v.159 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- De l'oser déclarer la douceur m'est permise, v.161 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Attendez donc un peu, v.179 (Acte 1, scène 4, PETIT-JEAN)
- N'eût été que j'ai craint de vous être suspect v.187 (Acte 1, scène 4, DAMIS)
- J'eusse précipité l'offre de mon respect, v.188 (Acte 1, scène 4, DAMIS)
- Elle n'aperçoit pas ta dentelle de Flandres, v.194 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Je ne t'en avertis que de peur d'accidents, v.207 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Rien n'échappe à sa plume, et dedans sa critique v.209 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- À jouer tout le monde il a tant de penchant... v.211 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- J'ai peur qu'on vous néglige, v.214 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Un si prompt accident vous peut être fatal. v.215 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Comme si pour me perdre elles eussent fait pacte v.221 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Que celui de la soupe où l'on trempe les doigts. v.224 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Et moi de qui l'esprit s'en est peu soucié v.239 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- À peine l'eus-je appris que je l'eus oublié. v.240 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- En effet, j'en vois peu qui ne donnent dedans, v.244 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Quand une chose a si peu d'apparence... v.270 (Acte 1, scène 4, DAMIS)
- À ma Muse peut-être il donne un coup de plume ; v.274 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Il me doit du respect, il a dû le savoir. v.279 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Tu te peux informer si Dorante s'en tire. v.310 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Le compère vous drape, et vous mord en riant, v.315 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- On ne peut l'attaquer sans en être marri ; v.327 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Ce que Paris peut-être a de plus odieux, v.331 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Peste le sot. v.339 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
- L'un de nous deux, Laquais, est un sot personnage. v.342 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
- J'en parais peu marrie. v.377 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Quand pour ouvrir la porte il appelle Georgette ? v.386 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Rien de plus innocent se peut-il faire voir ? v.391 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- De peur que le sommeil ne s'en rendît le maître v.397 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- D'aucun trait plus galant se peut-on souvenir ? v.399 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Cependant dans une heure une innocente extrême v.409 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Quoi qu'Arnolphe l'éclaire avec un oeil perçant ; v.411 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- La peste ! v.414 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Le petit Dialogue est d'une adresse extrême ; v.421 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Qu'on ne peut pas répondre à ce qu'on n'entend point ; v.424 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Cependant par un jeu dont l'éclat doit surprendre v.425 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- L'autre répond sans peine à ce qu'il n'entend pas. v.428 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- On ne s'aperçoit point qu'il soit père d'Agnès ; v.440 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Quoi qu'il en pense il nous doit être égal, v.459 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Appelle-t-on tragique un poème bouffon ? v.468 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- C'est cela qu'on appelle un mélange d'appas. v.471 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Dans celle que je dis, « Le petit Chat est mort ». v.476 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Quand un matou trépasse, ou quelque autre personne. v.482 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Tu penses me confondre, v.485 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- À ce que veut le peuple il se rend complaisant ; v.495 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Outre qu'un Satirique est un homme suspect, v.499 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Au seul mot de Sermon nous devons du respect : v.500 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- C'est une vérité qu'on ne peut contredire ; v.501 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Pour ce que l'on respecte on n'a point de mépris. v.512 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Il ne peut rien répondre à ce que nous disons ; v.516 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Mais Dorante sait bien qu'on ne peut mettre en doute. v.517 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Un garçon que je sais qu'on appelle Boursault... v.532 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Le Critique est à craindre, on a peur qu'il n'éclate, v.541 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Je prendrai son avis si cela se peut faire, v.549 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Un petit dénouement est utile à cela, v.551 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
LES DEUX FRÈRES GÉMEAUX (1665)
- Je vous le disais bien j'aperçois ce Nicandre, v.22 (Acte 1, scène 1, JACINTE)
- C'est peut-être... v.32 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Sors te dis-je, et te va faire pendre. v.34 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Permettez, ô Monsieur qu'à présent je vous die. v.50 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Ma Maîtresse Hipolite a depuis peu de jours... v.51 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- À tous ses mouvements j'aperçois qu'elle est mûre... v.54 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Il m'échappe à regret, mais il est véritable, v.62 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- Voyez donc à mon sort quelle peine se joint, v.99 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Je m'en suis aperçue, il biaise, il bricole, v.109 (Acte 1, scène 4, JACINTE)
- Peu m'importe. v.117 (Acte 1, scène 5, HIPOLITE)
- Peut-être, il vous plaît, il vous touche, v.117 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Peut-être. v.121 (Acte 1, scène 5, HIPOLITE)
- Peut-être. v.122 (Acte 1, scène 5, HIPOLITE)
- Ah le joli garçon par la superficie ! v.130 (Acte 1, scène 5, JACINTE)
- Il me quitte, le traître, et j'en sens mille peines, v.145 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Cependant du depuis j'ai compté huit semaines, v.146 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Que je trouve Nicandre, et je perds mon amant. v.148 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Il vous peut à son aise adresser tous ses voeux ; v.152 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Demander son logis serait perdre ma peine, v.153 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Et peut-être... v.171 (Acte 1, scène 6, HIPOLITE)
- De vous poussez à bout le perfide a fait voeu. v.179 (Acte 1, scène 7, JACINTE)
- Quelque peu. v.180 (Acte 1, scène 7, HIPOLITE)
- Et je pense... Madame admirez ce bâtier v.183 (Acte 1, scène 7, JACINTE)
- Et quoi que depuis peu vous soyez à Paris v.215 (Acte 1, scène 7, HIPOLITE)
- Pensez-y bien. v.217 (Acte 1, scène 7, HIPOLITE)
- Gare après votre queue un troupeau de sergents, v.236 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Et si votre personne est par eux attrapée, v.237 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Quoi, tu penses qu'Ismène ait si peu de constance... v.245 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Je ne sais par ma foi ce qu'il faut que je pense ; v.246 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Laisse agir mon amour, je te tire de peine, v.253 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Je m'en meurs. Cependant va dedans mon logis, v.263 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- On me veut faire pièce, et j'ai peur d'être pris : v.264 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Si je suis pris pour vous, et qu'après on me pende v.266 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Te pendre ! À tort on l'aurait prétendu. v.267 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Et qu'importe comment on puisse être pendu ? v.268 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Accordons un peu mieux tes discours et les miens, v.280 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- À peu prés. v.288 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- En gambades je pense il prétend me payer. v.292 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Et qui peut me devoir quinze mois de mes gages ? v.297 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Et tu penses me suivre ? v.306 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Je le pense, et repense. v.307 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Et tu ne penses pas v.307 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Il ne faut que cela pour m'achever de peindre. v.310 (Acte 1, scène 11, RAGOTIN)
- Peu courtois courtisan en chassant ton valet v.311 (Acte 1, scène 11, RAGOTIN)
- Que la peste t'étouffe, et te saute au collet. v.312 (Acte 1, scène 11, RAGOTIN)
- Où vous ai-je pu voir ? Tirez moi d'une peine. v.325 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- De ton frère, perfide, as-tu su quelques choses ? v.338 (Acte 2, scène 2, ISMÈNE)
- Quoi dessous cet habit j'aperçois une fille ! v.342 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Tu ne me connais pas ? Toi perfide ? Toi traître ? v.353 (Acte 2, scène 2, ISMÈNE)
- D'où vient donc que je comprends à peine... v.369 (Acte 2, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Pour vous aimer encore est peut être assez sotte, v.386 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- J'ai bien peur de me laisser aller. v.396 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Cependant sans façon je retourne au logis : v.400 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Mais il peut la quitter, il ne faut qu'un instant... v.403 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Dans une petite heure ayez soin de vous rendre... v.406 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Monsieur, vous ne serez ni roué, ni pendu, v.412 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Dans la peur que j'avais d'être pris au collet v.416 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Que peut-être... v.420 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Savez-vous bien, Monsieur, qu'on m'appelle Robin ? v.428 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Je t'ai dit, mon ami, qu'on m'appelle Nicandre v.434 (Acte 2, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Et je pense... v.447 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Quelle peste de preuve il me force de prendre ! v.457 (Acte 2, scène 7, ROBIN)
- C'est peut être une dent qu'il te faut arracher, v.476 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Une dent peut suffire à gâter une bouche, v.477 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Et ma joue en peut être un témoin authentique. v.490 (Acte 2, scène 8, ROBIN)
- Si vous ne le payez je veux être pendu. v.496 (Acte 2, scène 8, ROBIN)
- Mais perfide Robin le dessein où tu butes... v.533 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Tu la pousses, perfide, et ton coeur est si bas... v.551 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Essayez ma petite à vous rendre plus sage : v.561 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Et de peur qu'il n'arrive un semblable malheur v.564 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- À ton peste de bras qui n'a pas la main morte v.566 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Pour pendre les laquais qui sont au Paradis. v.580 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Peste de cagne. v.581 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Sans perdre une parole v.581 (Acte 2, scène 10, JACINTE)
- Toi, qui peut à son père inculquer son secret, v.596 (Acte 2, scène 11, ISIDORE)
- De le développer j'interpelle ton âme. v.597 (Acte 2, scène 11, ISIDORE)
- Il peut vous outrager, et je crains qu'on l'outrage ; v.610 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
- Jusques dans son logis on le peut aller prendre, v.618 (Acte 3, scène 1, LE COMMISAIRE)
- Et quoi qu'il soit éteint, son amour peut renaître : v.622 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
- Je lui fais un appel, et je prends rendez-vous ; v.624 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Et qu'au lieu que je marque il peut même aujourd'hui... v.628 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Il a tant de courage et si peu de prudence, v.630 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
- Et pour en peu de mots achever de tout dire, v.642 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
- Et de ta part enfin je crains peu d'accidents. v.655 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- Pour vous mon respect est extrême, v.666 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- As-tu peur ? v.679 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- Si tu sens de la peur tu peux le dire. v.680 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- Mais il ne songe pas à ceci que je pense ; v.694 (Acte 3, scène 3, RAGOTIN)
- Dieu sait si le cartel le va rendre éperdu ! v.695 (Acte 3, scène 3, RAGOTIN)
- Tu reviens à belle heure, et tu penses qu'au cas... v.699 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Oui, je pense, pourquoi ne penserais-je pas ? v.700 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Je veux penser. v.701 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Avec autre que vous on se trouve un peu mieux ; v.707 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Je n'en murmure point, cela dépend de toi, v.720 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Tu te rends le second de celui qui m'appelle ? v.721 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Allez vous-en au peautre, à qui vous êtes. v.734 (Acte 3, scène 6, JACINTE)
- Qu'on ne vaut pas la peste alors qu'on vous ressemble, v.738 (Acte 3, scène 6, JACINTE)
- Qu'être lâche, perfide, hypocrite, emballeur, v.739 (Acte 3, scène 6, JACINTE)
- C'est de votre peinture une légère idée ; v.742 (Acte 3, scène 6, JACINTE)
- Une voix transcendante a percé mon ouïe. v.758 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Tandis qu'il est ici permettez qu'on le coffre, v.778 (Acte 3, scène 8, JACINTE)
- Cependant de vos traits elle est toute remplie ; v.790 (Acte 3, scène 8, EUTROPE)
- Eutrope aime Isidore, et le Ciel a permis... v.791 (Acte 3, scène 8, EUTROPE)
- Eutrope ! Ah parangon des fidèles amis ! v.792 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- C'est Eutrope ! v.797 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Peste soit la valise, elle est diablement lourde, v.805 (Acte 3, scène 9, ROBIN)
- Ce coquin... Dieux Eutrope ! Il paraît désolé : v.808 (Acte 3, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Pour rire. C'est Eutrope, il faudra qu'on achève... v.813 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Quoi perfide Robin, oses-tu nous choquer ? v.819 (Acte 3, scène 10, EUTROPE)
- Moi, Messieurs, en prison ? Vous raillez que je pense. v.822 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Peut-être est-elle grosse, et je sais le moyen... v.827 (Acte 3, scène 10, EUTROPE)
- De ce qu'à cette fille on peut dire les causes, v.829 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- À condamner Robin différez tant soit peu v.840 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Charitables Messieurs qui voulez qu'on me pende, v.842 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Imperceptiblement il s'est évaporé ; v.852 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Votre fille à ce compte a perdu son honneur ? v.859 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Oui perfide. v.860 (Acte 3, scène 11, EUTROPE)
- Tu peux parmi le leur faire passer le tien ; v.864 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Cependant que d'honneur tout le monde me charge, v.865 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Quoi, vous souffrez que ce perfide cause ? v.873 (Acte 3, scène 11, JACINTE)
- C'est ce pendard qu'il faut prendre. v.875 (Acte 3, scène 11, EUTROPE)
- Accipez. v.876 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Peste comme le Membre a la tête levée ! v.878 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Il me va mener pendre, il n'est rien si constant ; v.879 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Vous petits membrillons dont je crains la présence, v.881 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Happes-chairs de mon âme, ah ne permettez point v.883 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Vous Eutrope in domum venez prendre un repas, v.900 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Membre, nous sommes seuls, on ne peut nous entendre, v.906 (Acte 3, scène 12, ROBIN)
- Tu le peux un moment, que veux-tu ? v.908 (Acte 3, scène 12, LE SERGENT)
- Je cherchais à te perdre, et tu m'as su toucher, v.915 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Pourtant quelques respects dont je sois combattu v.927 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Vous avez tant d'appas, je mérite si peu, v.931 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Avoue ingénument que tu ne peux sans peine v.937 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- S'il est vrai, tu le peux faire voir, v.952 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Mais au Cours de la Reine enfin l'heure m'appelle : v.966 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- À peine de leur vue étiez-vous échappé v.991 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Qu'un gros peste de Membre aussitôt m'a grippé ; v.992 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- On s'est donc aperçu de cette erreur extrême ? v.1001 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Je veux à mon retour reconnaître ta peine ; v.1022 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Car d'oser en jurer j'aurais peu de raison.) v.1031 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Le perfide, il est hors de prison ! v.1032 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Sache qu'en ma furie acharnée à ta peau v.1043 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Sache que mon courroux qu'on ne peut égaler... v.1047 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Qui peut empuceler aisément dépucelle ; v.1050 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Eutrope en me voyant m'aurait fait de la peine, v.1053 (Acte 4, scène 4, LE SECOND NICANDRE)
- Baste ; mais gardez bien de l'appeler pucelle, v.1058 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Vous me paierez ma peine, et paierez tout du long ; v.1060 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Ta langue un peu trop s'émancipe. v.1069 (Acte 4, scène 4, LE SECOND NICANDRE)
- Si le membre repasse, et que l'on me regripe ? v.1070 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Deux honneurs si petits ne leur suffiront pas. v.1080 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Pensez-y bien. v.1081 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Perfide, ainsi donc ton audace... v.1081 (Acte 4, scène 4, LE SECOND NICANDRE)
- Venez vite, Madame, autrement il m'échappe, v.1085 (Acte 4, scène 6, JACINTE)
- Il faut faire si bien que Mendoce l'attrape ; v.1086 (Acte 4, scène 6, JACINTE)
- Et de peur que mon père entendit vos discours v.1091 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Je veux t'aimer aussi bonne peste de chienne. v.1094 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- À peu prés. v.1108 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Expliquez aussi votre pensée. v.1117 (Acte 4, scène 6, JACINTE)
- Madame, comprenons, si comprendre se peut... v.1124 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Impertinent... De grâce, excusez si ce traître... v.1125 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Peut-être... v.1130 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Cum licence, ôtez-moi d'une peine v.1137 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Et qui n'est cependant qu'un perfide achevé. v.1144 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Quoi qu'il en soit j'en prends peu de souci, v.1147 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Et pour peu que je reste il faudra vous aimer, v.1152 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Il vous nomme perfide. v.1189 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- Impertinente. v.1198 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- Croyez-m'en Hipolite, appelons votre père, v.1202 (Acte 4, scène 9, JACINTE)
- Il était si peureux que j'étais son appui ; v.1219 (Acte 4, scène 10, RAGOTIN)
- N'êtes-vous point peureuse aussi bien comme lui ? v.1220 (Acte 4, scène 10, RAGOTIN)
- Pour venger mon injure, et pour perdre Nicandre ; v.1222 (Acte 4, scène 10, ISMENE)
- Tu sais bien que j'ai peu de rigueur. v.1232 (Acte 4, scène 10, EUTROPE)
- J'ai trop eu pour Eutrope indulgence plénière, v.1238 (Acte 4, scène 10, ISIDORE)
- Le bon peste de gîte ! On dirait d'une cave ; v.1257 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Et de soin tout pourri les petits brins épars v.1259 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Mais d'où vient que si tard ta personne est si nue ? v.1261 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- Car ils sont si bénins que de peur de rancune v.1265 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Peste, ces affamés sont de vrais fripe-sausses. v.1269 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Et par le petit trou quand on ferre la mule. v.1278 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Ou du moins si tu veux tu pourras m'appeler. v.1287 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- Ou je me trompe, ou je crois te connaître. v.1297 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- La recette est petite, et ne va pas trop bien ; v.1300 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Mais faut-il de regret que je m'en aille pendre ?) v.1301 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- À remettre vos traits j'ai pourtant de la peine ; v.1305 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Le perfide ? v.1308 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- J'ai peur dans la prison qu'il n'amasse du rhume. v.1309 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- N'a-t-il point de regret de ce qu'il m'a perdue ? v.1313 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- Toi qui sers cet ingrat, ne peux-tu faire en sorte, v.1317 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- Tu ne le peux ? Le traître a donc bien du mépris v.1319 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- Non, ne m'attendez pas, je l'appelle. Nicandre ! v.1330 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Qui m'appelle ? v.1331 (Acte 5, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Qui que ce soit n'importe, il suffit qu'on m'appelle. v.1334 (Acte 5, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Que dis-tu, de la peine qu'il a ? v.1335 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- N'as-tu pas aperçu... Mais l'ingrat le voilà. v.1336 (Acte 5, scène 3, ISM?NE)
- Et sans perdre un moment en propos superflus, v.1347 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Moi ? Je n'ai jamais pensé... v.1351 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Vous l'aviez bien payé pour m'appeler son maître, v.1361 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- J'ai trop peu de faiblesse, et trop bonne mémoire. v.1370 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Renier un valet c'est un beau petit vice. v.1374 (Acte 5, scène 4, ROBIN)
- Il appelle cela des chansons v.1375 (Acte 5, scène 4, ROBIN)
- Dans assez peu de temps nous serons en ce lieu. v.1395 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
- Pensent... Mais des verrous j'entends le cliquetis, v.1412 (Acte 5, scène 6, ROBIN)
- Tu peux tendre ta boîte, et je donne mon fait v.1416 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Et qui pour t'avoir vue un peu plus qu'il ne faut, v.1419 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Si l'on peut longtemps vivre, et brûler comme un Diable ; v.1422 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Ou du moins connaissant que tu m'aimes si peu v.1427 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Tu te railles, peut-être, et te moques de nous, v.1435 (Acte 5, scène 7, JACINTE)
- De lui-même à lui-même elle a dit pis que pendre v.1438 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Si tu penses... v.1458 (Acte 5, scène 8, JACINTE)
- Madame, à votre aspect je me sens l'âme émue... v.1466 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Je suis penaud comme un fondeur de cloches. v.1478 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Le perfide... v.1483 (Acte 5, scène 9, JACINTE)
- Perfide. v.1498 (Acte 5, scène 9, HIPOLITE)
- D'autres nomment trahir ce qu'il appelle adresse ; v.1506 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Et la peur de périr ne m'ébranlerait pas. v.1512 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- De son perfide coeur la fierté me ravale, v.1521 (Acte 5, scène 10, HIPOLITE)
- Et vous devez... Mais Dieux j'aperçois ma rivale, v.1522 (Acte 5, scène 10, HIPOLITE)
- S'il s'en peut démêler il n'est pas malhabile. v.1525 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- Qui donc encor est-ce là qui m'appelle ? v.1550 (Acte 5, scène 12, LE PREMIER NICANDRE)
- Qu'aperçois-je ? v.1552 (Acte 5, scène 12, LE PREMIER NICANDRE)
- Que dis-tu de l'avis, dis-moi donc ma petite ? v.1569 (Acte 5, scène 12, ROBIN)
LE JALOUX ENDORMI (1662)
- Peut-être avec raison m'avez-vous enfermée, v.36 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Que l'époux ait la peine, et l'Amant les plaisirs ? v.50 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Quiconque peut avoir un rayon de sagesse, v.71 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Qu'enfin mon ardeur n'eut point de récompense ? v.116 (Acte 1, scène 2, CLÉANDRE)
- Un si grand préambule est suspect à mon âme, v.119 (Acte 1, scène 2, SPADARILLE)
- En vain à le tromper je serai préparé. v.130 (Acte 1, scène 3, CLÉANDRE)
- De sa femme Olimpie aperçoive le trou ? v.138 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- De ce trou favorable il occupe l'entrée, v.140 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- Tu sais qu'un lit superbe à ma flamme propice, v.147 (Acte 1, scène 3, CLÉANDRE)
- À sa suite il n'a nulle personne, v.160 (Acte 1, scène 3, CLÉANDRE)
- De peur que de sa femme on pût voir les attraits, v.161 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Ne peut près d'Olimpie endurer de servante, v.164 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Qui voudraient sur ma terre usurper droit de chasse, v.171 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Mais dans ce petit doigt vous avez un anneau v.181 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Quoi mais ? A-t-il peur de mes yeux ? v.185 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Je ne sais s'il se peut qu'Olimpie. v.191 (Acte 1, scène 4, CLÉANDRE)
- Et qui peut s'en servir doit s'attendre à ce coup, v.197 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- D'acquérir peu d'honneur, et d'en perdre beaucoup ! v.198 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- N'espérez, cependant, passeport ni Patente, v.199 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- C'est ma pensée, et j'y vais de ce pas. v.206 (Acte 1, scène 4, CLÉANDRE)
- J'aperçois tous les tours que votre esprit enfante. v.211 (Acte 1, scène 5, SPADARILLE)
- Voyons un peu sa mine. v.215 (Acte 1, scène 5, SPADARILLE)
- Quoi, se peut-il, Monsieur, que mon malheur vous touche ? v.219 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Et qu'en peut-on conclure ? v.239 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Vous rend l'âme éperdue, v.243 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Voici pour mettre obstacle à tous vos petits tours, v.246 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Vous pouvez cependant, réchauffer la mitaine, v.259 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Puis après de rentrer il faut prendre la peine, v.260 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Beau-père, ou non, laissez-nous un peu faire, v.264 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Un peu trop prétendant, prétendez un peu moins, v.270 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Où peut-elle avoir pris de mauvaise teinture, v.283 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- D'en user de la sorte elle a bien peu de droit. v.290 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Cependant d'un anneau je le trouve pourvu ; v.297 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Aussitôt par ma bouche Olimpie appelée, v.299 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- De Cléandre pourtant je crains peu la finesse, v.307 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Ou je me trompe, ou j'aurai du bâton. v.314 (Acte 1, scène 8, CASCARET)
- J'ai peur que ce ne soit Olimpie. v.320 (Acte 1, scène 8, ALCIDOR)
- S'il est vrai, ce ne peut donc pas l'être. v.324 (Acte 1, scène 8, ALCIDOR)
- Mais envers Olimpie agréez mon respect, v.341 (Acte 1, scène 8, OLIMPIE)
- Un visage inconnu lui peut être suspect, v.342 (Acte 1, scène 8, OLIMPIE)
- Et quoi que de ma part ce perfide prétende. v.347 (Acte 1, scène 8, OLIMPIE)
- Pourra se rallumer à l'aspect. v.356 (Acte 1, scène 9, ALCIDOR)
- Pour sa seule pensée je languis. v.364 (Acte 1, scène 9, CLÉANDRE)
- Ma fille en peu de temps en vos bras se va rendre : v.368 (Acte 1, scène 10, ALCIDOR)
- Je vois peu d'apparence v.371 (Acte 1, scène 10, CLÉANDRE)
- Vraiment ! ça la dormeuse au sommeil un peu dur, v.385 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Le tour est bon ; peste soit de la Buse. v.392 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- C'est un peu vainement que vous êtes surpris, v.393 (Acte 1, scène 11, CLÉANDRE)
- Dissipez le chagrin qui me rend assoupi, v.401 (Acte 1, scène 11, CLÉANDRE)
- Il est penaud comme un fondeur de cloches. v.432 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Il importe fort peu ; v.433 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Sur mes sens j'ai trop peu de pouvoir, v.438 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- J'ai peu de complaisance envers qui me méprise ; v.440 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Qu'exiger de mon âme un respect qu'il n'a pas. v.442 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Dans ce lieu de me voir il a peu de plaisir : v.450 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Si je m'en repentais j'aurai l'âme trop basse. v.460 (Acte 1, scène 12, CLÉANDRE)
- J'aperçois qu'Olimpie a pour moi de l'horreur : v.461 (Acte 1, scène 12, CL?ANDRE)
- L'occasion ne peut être plus belle, v.487 (Acte 1, scène 13, CLÉANDRE)
- N'es soyez point en peine, il saura nous rejoindre, v.492 (Acte 1, scène 13, CLÉANDRE)
- De me tromper Cléandre avait toute la mine, v.496 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Il faisait tout exprès le petit complaisant ; v.497 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Ce que je suis, Monsieur, me permet de vous rendre. v.515 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Mais quand je songe aux respects que je dois. v.521 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Respectueux Beau-père, entrez donc après moi, v.522 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Tu peux par ta fenêtre écouter quatre mots. v.530 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- En entrant le premier tu m'as mis hors de peine, v.543 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Et peut-on en finesse égaler ce Grison, v.549 (Acte 1, scène 15, SPADARILLE)
- Peuples qui m'écoutez, laissez périr le Monde ; v.552 (Acte 1, scène 15, SPADARILLE)
Dans les 1895 textes du corpus, il y a 12 textes (soit une présence dans 0,63 % des textes) dans lesquels il y a 1755 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 146,25 occurences par texte.
n° | Titres | Acte 1 | Acte 2 | Acte 3 | Acte 4 | Acte 5 | Prologue | Total |
1 | MARIE STUARD | 35 | 35 | 35 | 36 | 41 | 0 | 182 |
2 | ÉSOPE À LA COUR | 86 | 45 | 87 | 62 | 71 | 9 | 360 |
3 | LA SATIRE DES SATIRES | 111 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 111 |
4 | LE MÉDECIN VOLANT | 64 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 64 |
5 | LE MORT VIVANT | 45 | 46 | 47 | 0 | 0 | 0 | 138 |
6 | GERMANICUS | 53 | 48 | 40 | 49 | 50 | 0 | 240 |
7 | LA FÊTE DE LA SEINE | 11 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 11 |
8 | LES MOTS À LA MODE | 97 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 97 |
9 | LA COMÉDIE SANS TITRE | 33 | 48 | 54 | 25 | 33 | 0 | 193 |
10 | LE PORTRAIT DU PEINTRE | 70 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 70 |
11 | LES DEUX FRÈRES GÉMEAUX | 45 | 31 | 53 | 44 | 48 | 0 | 221 |
12 | LE JALOUX ENDORMI | 68 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 68 |
Total | 718 | 253 | 316 | 216 | 243 | 9 | 1755 |